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Et alors ?

" Tu as une queue et alors ? Tu entends prouver quoi ? Qu’à ce titre je devrais te considérer comme étant mon roi alors qu’elle est minuscule, que je la contrôle, que jamais elle ne me baisera et que je te fais cocu comme je l’entends ?"

" Désolée, pour moi c’est juste une quéquette de petit garçon et j’aimerais que tu ne l’oublies pas ! "

Martinet de quéquette

Recevoir sur sa quéquette de (petits) coups d’un martinet prévu à cet effet (lanières courtes et souples) est pour un chevalier moins douloureux qu’humiliant.

Ce pourrait même être considéré comme la mise à mal ultime de sa virilité puisque ce qui est traditionnellement considéré comme symbole de la force (et du pouvoir) d’un homme se retrouve objet vulnérable (et méprisable) corrigé par une Femme qui affirme ainsi clairement une autorité devenue totale.

Enfin, accepter la dévalorisation, les humiliations et ici la douleur infligées à ses parties génitales ne peut que rehausser chez un homme le sentiment que c’est la vulve de sa Maitresse, son bien-être et ses plaisirs, qui est au sommet de tout dans leur relation.

Trucs de Fille

Lorsqu’une Reine souhaite (entre autres) éduquer son chevalier à redevenir petit garçon, à un age où sa sexualité n’était pas encore clairement affirmée, lui faire porter parfois ou faire faire des "trucs de fille" le conduit invariablement à se sentir moins mâle et à avoir moins d’ambition concernant sa virilité.

Règles des règles

Puisqu’une Reine est indisponible durant ses règles (notamment auprès de ses amants), le corolaire pour son chevalier – et afin qu’il ne soit pas avantagé – devrait être une abstinence sexuelle totale durant cette période.

Afin qu’il soit solidaire d’Elle et de la gène qu’elles provoquent, on peut imaginer plusieurs variantes. Parmi celles-ci, lui faire porter à lui aussi une serviette hygiénique comme Elle le fait Elle, ou pour les différencier et rendre le désagrément plus palpable, à l’ancienne, avec une ceinture réglable et une culotte en plastique, bien sûr sans objet concernant des fuites mais pour créer une impression de chaleur, voire une certaine transpiration qui justifierait presque à elle seule la nécessité de porter cette serviette.

Récompense pour petit garçon

A la fois maternelle et dominante, proche et distante, le plaisir de faire plaisir à son chevalier mais aussi celui de le conditionner, par la chasteté et des branlettes répétées données sous forme de récompense, à se sentir petit garçon face à Elle, jusque dans une sexualité qui le verra accepter comme finalité ce qu’un adulte considère comme préliminaire.

Infirmière particulière

Si par amour une Reine sait prendre soin de son chevalier lorsqu’il est malade, certaines, par jeu et/ou pour accroitre leur dominance, aiment le faire à titre préventif (comme on le faisait autrefois avec les petits garçons dans des actes particulièrement humiliants lorsqu’on est un homme) en prenant par exemple (et dans une liste non exhaustive) sa température, en lui mettant des suppositoires pour favoriser son transit intestinal, en lui procurant des lavements, en massant sa prostate pour contrôler son bon fonctionnement, en vérifiant la propreté de ses fesses ou de sa quéquette, en épilant cette dernière pour éviter les infections, voire, pour les plus expertes (attention danger si on ne l’est pas), en lui posant une sonde urinaire qui le rendra totalement dépendant d’Elle lorsqu’il aura envie de faire pipi.

Piqure de rappel

Le mariage s’il est une officialisation de la relation d’un couple, qui vit le plus souvent depuis longtemps sous le même toit, ne change pas les règles qui le régissent mais il peut être l’occasion pour une Reine de les clarifier au yeux de son chevalier :

  • Marié ou pas, il ne peut s’attendre à consommer ce mariage.
  • Il sera toujours fait cocu mais au moins puisqu’il devient époux cela devient officiel