" J’avoue que ça tombe mal de passer la soirée avec un amant le jour de la Saint Valentin. Pour me faire pardonner, et bien que nous ne soyons pas un dimanche, en rentrant je te retirerai ta cage de chasteté pour que tu puisses te branler pendant que je te raconterai nos ébats. "
Après quelques verres, quand les réactions se font plus spontanées, l’amusement non feint de Celles devant qui sa Reine lui a demandé d’exhiber son petit zizi encagé.
" A chaque fois que j’utilise mon bâton de rouge à lèvres je pense à ta quéquette. Non pas parce qu’elle ne connaitra jamais la douceur de ces dernières mais parce qu’il en à la forme et la taille. "
" Tout est affaire de psychologie. Oublie que c’est ma main qui te branle et imagine plutôt que c’est ma bouche qui te suce comme elle suce mes amants. Imagine le plaisir que je leur donne et approprie-le toi comme si c’était eux les cocus et pas toi. "
" Où serait l’intérêt pour moi de ne pas faire l’amour avec toi si je n’avais pas d’amants et si tu pouvais te libérer de ta frustration en te branlant en cachette ? "
" C’est celle que je portais lorsque je suis allé le voir hier. Avoir le sperme de mon amant et celui de mon chevalier sur la même culotte, je trouve ça très romantique. Et in fine, sur ce point là, tu l’égales. "