" Ta quéquette parle pour toi comme celle d’un petit garçon qui fantasme qu’une Dame prenne en charge son éducation. Tu aimes sentir la supériorité que j’exerce sur toi en t’humiliant, que je t’impose une sexualité de puceau et d’être cocu. Je te sens plus excité qu’une pétasse en chaleur, juste parce que tu espères que je vais t’autoriser à te branler avant de te remettre ta cage de chasteté. Mais d’abord je vais t’ôter ce baillon et tu vas lécher mon trou du cul pour me convaincre que tu mérites que je t’accordes une telle faveur. "
Merci ma Reine de m’accorder la permission de vous convaincre.