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Organe de substitution

Que ce soit parce qu’Elle estime son zizi trop petit pour la satisfaire ou par éthique en refusant d’être "possédée" par celui qu’Elle possède, une Reine peut souhaiter s’abstenir de faire l’amour à son chevalier.

Si les amants sont une bonne alternative pour éviter la frustration de ne pas être pénétrée, ils ne remplacent pas les étreintes avec celui dont Elle est normalement la plus amoureuse.

Lui faire porter un gode-ceinture, dont le phallus serait à la taille idéale pour Elle, constitue une bonne solution de substitution, car même si les sensations ressenties sont légèrement différentes de celles provoquées par un vrai pénis, Elle peut être sure de sa résistance et que son "amant" sera uniquement concentré sur son plaisir à Elle puisqu’il n’en aura pas lui-même (en tout cas dans sa quéquette).

Amoralité ?

Même s’il lui en coûte et lorsqu’il en a accepté volontairement le principe (ou la règle) faire cocu son chevalier n’est peut être pour une Reine considéré comme une forme de tromperie au caractère immoral. Tout juste pourrait-Elle être considérée comme amorale par des âmes bien pensantes, puisqu’Elle fait fi de la morale qui veut qu’une Femme mariée soit monogame, cette "amoralité" n’étant de toute façon pas condamnable puisqu’elle ne trouble en rien l’ordre public.

Anti-conformisme

Ayant suffisamment d’estime pour Elle, une Reine peut se permettre, en compagnie de certaines personnes, d’avoir un comportement qui n’a rien de "royal".

Son chevalier doit non seulement l’accepter mais également bien comprendre que ces attitudes sont réservées à d’autres et ne sauraient remettre en cause l’autorité qu’Elle exerce sur lui.