Lorsqu’une Reine choisit d’avoir des amants ce n’est pas par perversité mais parce qu’Elle estime que cela est bon pour son équilibre et son bien-être.
Puisque ce bien-être influe directement et de manière positive sur la relation qu’Elle entretient avec son chevalier – et même si cela pourrait sembler bizarre à certains – ce dernier, malgré le caractère humiliant qui consiste à le faire, ne devrait donc pas hésiter à la remercier régulièrement de le faire cocu.
Si certaines tenues brillantes mettent en valeur son autorité, elles le seront toujours moins que la Reine qui les porte.
Inversement la nudité met en valeur l’humilité nécessaire à sa soumission lorsqu’un chevalier se prosterne devant Elle pour reconnaitre sa supériorité.
Puisqu’on ne perd pas grand chose à écouter un journal télévisé plutôt qu’à le regarder, procéder à la toilette intime de sa Reine pendant sa diffusion permet à un chevalier d’avoir l’essentiel des informations du jour tout en se consacrant à sa tâche essentielle, à savoir être responsable du bien être de cette dernière.
Une clé de bras sur son chevalier permet à sa Reine, surtout dans la phase de son dressage, de maintenir son visage contre sa botte autant de temps qu’Elle le souhaite, afin qu’il puisse l’honorer et ce d’autant plus – comme sur l’image – que son talon est plus long que le zizi de celui qui la vénère.
" Parlons peu mais parlons bien. Tu sais que tu m’as énervée en te comportant comme un petit macho en présence de mes amies ? Tu comprends donc que tu mérites une punition ? Bien…Comme je suis magnanime je te laisse le choix. Ce sera 15 coups de cravache ou 15 min à me lécher le trou du cul en me demandant pardon. Je vais compter jusqu’à trois et à trois je veux ta réponse.. "
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Après avoir embrassé sa chaussure, devoir embrasser son pied et sa chaîne de cheville, puis la remercier (règle n°3) de l’avoir autorisé à vénérer une partie de son corps et des objets qu’Elle porte, symbole de sa Féminité et de sa liberté.
Suivant que l’on est Reine ou chevalier, l’association de ses fesses avec d’autres parties du corps de son partenaire est différente.
Où il est démontré que si une Reine peut parfois s’amuser à traiter son chevalier comme s’il était un chien, c’est parce que ce dernier a parfois naturellement (surtout lorsqu’il est bien dressé) un comportement de chien.
De retour d’une réunion où son directeur n’a pas décollé les yeux de ses bottes, cette Reine à la fois excitée à cette idée mais aussi frustrée de savoir qu’il ne serait pas raisonnable de le faire tomber dans sa nasse, demande à son chevalier d’honorer les dites bottes, avant de remonter lentement le long de sa jambe et de plonger au creux de son intimité pour lui donner un orgasme réparateur.
Plus discrète qu’un trône en sa demeure, mais pouvant en faire office, une bergère, dans laquelle confortablement installée, une Reine peut se faire honorer toutes les parties de son corps par la bouche de son chevalier, notamment celles situées sous son bassin.
