Ongles ultra longs et jupe en cuir ultra courte pour doubler ses chances d’attirer le regard même s’il est probable que cette Reine entend surtout indiquer la cible des baisers qu’Elle attend.
Archives du mot-clé Soumis
En avant
Lui retirer ses bottes
Naturelle
Où il est démontré que si certains objets peuvent incarner le pouvoir d’une Reine, même nue au sortir de son bain, son regard suffit à n’en pas douter.
Aide
Que ce soit pour sentir la douce caresse d’une langue sur sa cheville ou son mollet à travers sa botte ou s’en servir pour en faire briller le vinyle, une Maîtresse doit dans un premier temps éduquer son soumis à apprendre à acquérir les bons réflexes et comprendre les bons gestes.
Cuillerée
Par définition une relation D/s est fondée sur la confiance et une Reine ne fera jamais rien qui puisse mettre en danger l’intégrité physique de son chevalier.
Partant de ce principe, lorsque cette dernière tend une cuillère à son chevalier et quel que soit son contenu, sperme, urine, diurétique, laxatif ou tout simplement de la nourriture, il devra l’ingurgité sans sourciller, quand bien même les effets immédiats ou à venir pourraient lui causer un désagrément.
Cette obligation est d’autant plus grande lorsqu’Elle est avec une amie et qu’il serait particulièrement mal venu de remettre en cause son autorité – et la qualité de son dressage – en présence de celle-ci.
Se déshabiller
Avant l’humiliation d’être nu, celle de devoir se déshabiller devant sa Reine, juste parce qu’Elle l’aura décidé afin de le rendre plus vulnérable et plus sensible à son autorité.
Avoir l’air con
Il existe de nombreuses situations ou un chevalier peut avoir l’air con (un peu ou franchement) face à sa Maîtresse (eu égard au moins aux critères culturels de notre société).
Parmi ces situations et de manière non exhaustive :
- Etre nu devant sa Reine habillée,
- Se prosterner pour embrasser ses bottes ou chaussures
- Devoir se branler (alors que c’est un exercice normalement solitaire) devant Elle voir pire
- Le faire en respirant une des ses culottes
- Le faire en respirant l’intérieur d’une chaussure
- Etre féminisé
- Devoir porter une couche jusqu’à la mouiller
- Devoir demander l’autorisation d’aller aux toilettes au cours d’un lavement
- Etc..
Avoir l’air con devant sa Reine est normal, et même sain dans le cadre de la domination Féminine, puisque les humiliations conduisant à l’humilité, un homme doit savoir s’abaisser devant une Femme pour lui prouver sa soumission et la rendre plus grande.
Pour une Reine, lui rappeler cet état est parfois nécessaire dans le sens où une fois son dressage achevé (ou bien avancé) ces situations sont presque vues comme "naturelles" et moins humiliantes. S’entendre dire – même avec tendresse – qu’on a l’air con (ou ridicule) dans le genre "Tu as vraiment l’air con comme ça mon chéri" voire "et j’adore te voir ainsi" rajoute tout de suite une nouvelle couche d’humilité.
Un chevalier risque aussi de passer pour un con aux yeux de tierces personnes, notamment si sa Reine exerce une attitude dominante envers lui en public, qui jugeront qu’il n’a pas de "couilles" et qu’il ne sait pas s’imposer auprès de sa Femme. Ce sera bien sûr là aussi humiliant pour lui mais après tout cette réaction de tiers sera plutôt normale vue la société dans laquelle nous vivons encore.
Par contre même si la différence peut paraitre tenue entre avoir l’air con et passer pour un con, un chevalier ne devrait jamais passer pour un con aux yeux de sa Reine. Cela voudrait dire en effet qu’il n’y aurait de sa part aucun respect, ni pour son statut de mâle (ce qui est normal) ni pour son statut d’homme (au sens d’être humain), ni amour de sa part (comment peut-on aimer un con ?).
Ce serait d’ailleurs de la part de cette dernière un aveu implicite de faiblesse, puisque la soumission de son chevalier ne serait pas due à son charisme mais au simple fait qu’il aurait trouvé une dominante capable d’assouvir ses fantasmes, que l’acceptation de son dressage était moins spirituelle que mécanique, en d’autres termes que si Elle est sa Maîtresse, cela aurait pu être n’importe qui d’autre.
On rentrerait alors dans une simple relation Maîtresse/esclave souvent intéressée et en tout cas éloignée d’un concept chevaleresque, même si ce dernier est évidemment teinté – de nos jours – de domination Féminine.
Aveux
Lorsqu’une Reine branle son chevalier, Elle peut tout obtenir de lui, notamment des aveux qu’il n’aurait sans doute pas prononcés en dehors de cette (douce) torture.
Un exemple (parmi d’autres) serait de lui dire :
- Tu aimes savoir que je couche avec d’autres hommes ?
- Tu aimes savoir qu’ils touchent mes seins ?
- Tu aimes savoir qu’ils me pénètrent (s’il est chaste : alors que toi tu ne peux pas le faire) ?
- Tu aimes savoir qu’ils jouissent dans mon intimité ?
- Tu aimes (aimerais) nettoyer leur sperme avec ta langue ?
- Donc tu aimes être cocu ?
- Dis le moi !…
Emporté par l’excitation et de peur que sa Reine n’arrête de le branler si Elle n’obtenait pas la réponse attendue, celui-ci répondra oui à toutes les questions (même s’il n’en est pas fondamentalement convaincu) pour finalement reconnaitre qu’il aime être cocu.
Forte de ces aveux – et quelles que soient les raisons qui par ailleurs la pousse à le faire cocu – Elle pourra plus tard lui rappeler qu’après tout c’est lui qui est demandeur et qu’il est donc – au moins partiellement – responsable de cet état de fait dont il devrait se louer et non se plaindre.
Le Martinet
L’objet
Alternative à la fessée ou à la cravache, le martinet constitue parfois une pièce essentielle dans le cadre du dressage d’un chevalier.
Là encore, il peut ne pas être uniquement punitif mais également un objet de conditionnement, visant à mettre le chevalier dans un état de petit garçon acceptant de plier devant l’autorité Féminine.
Une idée de rangement
Plutôt que de le ranger dans un placard ou une boite, le mettre dans un sac à main en fera au moins symboliquement un accessoire indispensable à la Reine – au même titre que son rouge à lèvres – et signifiera qu’il est clairement destiné à appartenir à un Femme (et à utiliser comme Elle l’entend).