Si une Reine invoque à juste titre la fessée comme nécessaire dans le cadre de l’éducation de son chevalier, il n’en est pas moins vrai qu’il s’agit généralement pour Elle, moins d’une corvée, que d’un réel plaisir (intellectuel et physique) à la lui donner.
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Faire le beau
Pour le plus grand plaisir de sa Reine, un chevalier bien dressé acceptera de prendre les positions les plus ridicules pour peu qu’Elle le lui demande.
Interrogation orale
Ainé
Et alors ?
" Tu as une queue et alors ? Tu entends prouver quoi ? Qu’à ce titre je devrais te considérer comme étant mon roi alors qu’elle est minuscule, que je la contrôle, que jamais elle ne me baisera et que je te fais cocu comme je l’entends ?"
" Désolée, pour moi c’est juste une quéquette de petit garçon et j’aimerais que tu ne l’oublies pas ! "
Habitude
Barbie & ken
Altruisme de Reine
Grandeur et humilité
Il y a suffisamment de moyens pour une Reine d’humilier son chevalier pour qu’inversement Elle sache le mettre en confiance et lui apprenne qu’il n’y a rien de déshonorant – voire qu’au contraire il y a une une forme de grandeur – pour lui à se débarrasser de ses inhibitions, à libérer ses émotions et à se livrer sans retenue lorsqu’il lui s’agit de reconnaitre qu’Elle lui est supérieure.
Martinet de quéquette
Recevoir sur sa quéquette de (petits) coups d’un martinet prévu à cet effet (lanières courtes et souples) est pour un chevalier moins douloureux qu’humiliant.
Ce pourrait même être considéré comme la mise à mal ultime de sa virilité puisque ce qui est traditionnellement considéré comme symbole de la force (et du pouvoir) d’un homme se retrouve objet vulnérable (et méprisable) corrigé par une Femme qui affirme ainsi clairement une autorité devenue totale.
Enfin, accepter la dévalorisation, les humiliations et ici la douleur infligées à ses parties génitales ne peut que rehausser chez un homme le sentiment que c’est la vulve de sa Maitresse, son bien-être et ses plaisirs, qui est au sommet de tout dans leur relation.