" Mon chéri, à ton avis je mets quoi avec ça pour recevoir nos nouveaux amis ? Ma jupe écossaise d’écolière, ma jupette en daim ou ma mini en cuir que tu aimes tant ?"
"A propos je t’ai dit ? J’ai reçu leur test HIV, ils sont séronégatifs…"
A condition que la température ambiante si prête bien sûr, la nudité imposée par une Reine à son chevalier – même dans des moments très ordinaires de leur vie de couple – conduira ce dernier à trouver naturel de n’avoir plus d’intimité donc à renforcer son humilité et la perception qu’il a de la supériorité de sa Reine.
Au sens figuré, le lèche cul est une personne prête à s’abaisser devant une autre personne pour obtenir ses faveurs et sa protection.
Lorsqu’un chevalier s’adonne à cette pratique au profit de sa Reine, l’expression linguistique devient linguale mais la signification reste la même, sauf qu’en plus il devra l’en remercier.
A se faire offrir par son chevalier, ou aspirant chevalier, ou à s’offrir soi-même lorsqu’on est Reine (ou aspirant à le devenir), ce livre disponible chez Amazon.
Pour passer de bonnes fêtes de noël et prendre des bonnes résolutions pour 2013 !
Passée la cinquantaine – voire même, sans plus de problème la soixantaine – une Femme garde tous les arguments pour séduire un chevalier plus jeune qu’Elle (ou pas) et accéder au statut de Reine.
Son age et son expérience sont même des arguments de poids dans de nombreux domaines :
Par ailleurs connaissant mieux son corps et ses envies elle sera plus à même de former son chevalier à satisfaire sa libido au quotidien, voire à la renforcer, et ce d’autant plus qu’avec les années les inhibitions tombent et qu’Elle hésitera sans doute moins qu’une Jeune Reine à le dresser à atteindre un degré d’exigence parfois supérieur.
De la même manière, en cas de manque d’appétence, elle hésitera moins à sublimer sa sexualité pour jouir intellectuellement (a minima) des humiliations qu’Elle pourrait faire subir à son chevalier (féminisation forcée, lavements, transformation en bébé ou bien sûr créé une relation maman / petit garçon, etc…) qui seraient la marque de son pouvoir sur lui, ni même pour satisfaire son ego et épater ses amies à afficher sa dominance et l’humilier devant Elles.
Enfin sa recherche d’amants devenant souvent accessoires pour son équilibre (ce qui ne veut pas dire qu’elle soit dans tous les cas abandonnée), Elle aura plus de temps à consacrer à son chevalier (et inversement Elle attendra plus de lui), notamment celui consacré à sa vénération (ou aux jeux pré-cités), ce qui ne pourra que les rapprocher et augmenter l’effet d’addiction qu’Elle aura su créer chez lui.
Bref, Mesdames qui me lisez et qui êtes curieuses ou attirées par ce type de relation, sachez qu’il n’y a pas d’age pour devenir Reine.
Si une Reine aime la sodomie et qu’Elle utilise parfois un petit vibromasseur anal pour sacrifier à ce plaisir, c’est moins parce que la quéquette de son chevalier serait inadéquate que par principe.
En effet, Elle peut juger bon – et on ne saurait lui donner tord – que pour l’équilibre de son couple, il serait malsain que son chevalier puisse jamais penser qu’il pourrait parfois prendre l’ascendant sur Elle, notamment si Elle lui offrait cette partie de son anatomie, autrement que pour la faire vénérer avec sa langue.
Terrible frustration – et humiliation – pour un chevalier qui se voit refuser un plaisir un peu pervers, qu’Elle aime accorder à ses amants ou partager avec un god.