En public et par discrétion, une Reine peut indiquer à son chevalier, d’un simple geste du doigt, l’emplacement ou Elle entend qu’il se tienne. A lui d’être vigilant et de rester à l’écoute de tous ces petits signes issus des règles qui régissent leur couple.
S’il existe pratiquement autant de formes de sexes Féminins qu’il y a de Femmes, on peut imaginer que la capacité de l’une d’entre Elles à s’ouvrir peut dépendre, surtout lorsque c’est celui d’une Femme libertine de la fréquence, des rapports qu’Elle entretient avec ses amants et /ou de la taille du pénis de ces derniers.
Une offrande obscène pour le regard de son chevalier, particulièrement humiliante s’il est chaste, de ce puits d’amour qu’Elle réserve à d’autre mais dont Elle attend manifestement qu’il en nettoie l’intérieur avec sa langue.
Une relation Reine / chevalier idéale tient parfois dans la simplicité des attentes de la Reine.
Pour certaines Femmes, il est réconfortant (voire également excitant) de savoir qu’il existe certains hommes qui – sans contrainte physique – savent afficher avec humilité leur reconnaissance de la supériorité Féminine.
Une image qui reflète l’état d’esprit dans lequel se trouvent certaines Reines qui imposent la chasteté à leur chevalier, se refusant d’être leur amante mais qui utilisent leur langue à des fins hygiéniques et/ou pour leur donner du plaisir.
Quand une Reine a décidé de jouer avec un couple ami, comme au bridge son chevalier doit souvent se contenter de faire le mort et de regarder la partie.
" Je ne sais pas si c’est l’excitation de me préparer à recevoir mon amant, mais j’ai l’impression que mes fesses ont terriblement envie de sentir tes lèvres…tout de suite !!! "
Dans un couple Reine / chevalier, et à la différence de ce qui se passe dans des couples traditionnels, les souhaits de la Femme sont pour la plupart non négociables par l’homme.
Bien que les termes puissent sembler contradictoires, devoir (ou pouvoir) jouir sur les bottes de sa Reine sont à la fois un honneur et une humiliation offertes par cette dernière à son chevalier.
Transformer son chevalier en soubrette n’a pas pour vocation de le rendre beau (belle ?) ou sexy (c’est même malheureusement – pour celle qui le regarde – rarement le cas) mais de le mettre mal à l’aise, de le faire se sentir vulnérable, incapable de trouver des arguments pour se rebeller, bref de le plonger dans un état de soumission dont seule sa Reine pourra le libérer.
