A l’issue d’une fessée, non pas punitive mais éducative, une Reine peut très bien consoler et câliner son chevalier pour lui faire comprendre combien Elle est fière et heureuse qu’il la reconnaisse ainsi comme lui étant supérieure.
A l’issue d’une fessée, non pas punitive mais éducative, une Reine peut très bien consoler et câliner son chevalier pour lui faire comprendre combien Elle est fière et heureuse qu’il la reconnaisse ainsi comme lui étant supérieure.
De l’anglais worship : place of worship signifiant lieu de culte.
Cette image pour rappeler que les fesses d’une Reine sont un lieu qu’un chevalier se doit de respecter, d’honorer, de vénérer et d’embrasser aussi souvent que nécessaire afin que cette dernière sente, qu’à travers cette (douce) humiliation, il reconnait sans limite combien Elle lui est supérieure.
Un chevalier a beau être convaincu – ou avoir été dressé à le comprendre – qu’une Femme a physiologiquement besoin de pluralité, lorsque sa Reine le fait cocu en sa présence il doit parfois supporter des regards cassants et particulièrement humiliants d’amants triomphateurs ou de sa Reine provocante et un peu moqueuse.
Si ces humiliations peuvent être vues comme nécessaires par sa Reine pour le conduire à plus de soumission,afin d’éviter qu’elles ne deviennent vraiment traumatisantes, il est utile que cette dernière le rassure et lui rappelle qu’Elle l’aime a posteriori.
Si un pénis peut ainsi s’insérer dans le creux d’un rouleau de papier hygiénique c’est qu’il fait moins de 9.5 cm (pour une moyenne de 15 cm) et qu’il sera bien incapable de contenter une immense majorité de Femmes.