A la différence du baiser traditionnel sur la bouche où les partenaires mélangent leur salive, ce baiser où seule la Femme offre la sienne à l’homme et où les sentiments générés (d’humiliation pour le chevalier et de pouvoir pour la Reine) tiennent moins du geste en lui-même que de l’idée qu’on s’en fait.
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Fleur
Libertine
Infirmière particulière
Si par amour une Reine sait prendre soin de son chevalier lorsqu’il est malade, certaines, par jeu et/ou pour accroitre leur dominance, aiment le faire à titre préventif (comme on le faisait autrefois avec les petits garçons dans des actes particulièrement humiliants lorsqu’on est un homme) en prenant par exemple (et dans une liste non exhaustive) sa température, en lui mettant des suppositoires pour favoriser son transit intestinal, en lui procurant des lavements, en massant sa prostate pour contrôler son bon fonctionnement, en vérifiant la propreté de ses fesses ou de sa quéquette, en épilant cette dernière pour éviter les infections, voire, pour les plus expertes (attention danger si on ne l’est pas), en lui posant une sonde urinaire qui le rendra totalement dépendant d’Elle lorsqu’il aura envie de faire pipi.
Initiatrice
Si considérer son chevalier comme un petit garçon est pour une Reine l’occasion de reprendre à zéro son éducation concernant ses rapports avec une Femme, c’est aussi, lorsqu’Elle est câline (voire maternelle), l’occasion de devenir son initiatrice, de lui faire découvrir de nouvelles caresses parfois plus sensuelles que sexuelles (qu’il pourra reproduire sur Elle), de lui apprendre à vaincre sa timidité et à se lâcher en le libérant de la pression du statut de mâle qu’il serait de toute façon bien incapable d’assumer.
Nouvelles perspectives
Allo quoi ?
Tenue de travail
Prendre l’ascendant
Amour et humiliations
Une Femme dominante par nature ne peut généralement être amoureuse durablement que d’un homme qui accepte de se soumettre à son autorité.
Humilier et abaisser son chevalier, lui imposer la chasteté, le faire cocu, le dresser à être obéissant et à la vénérer n’est donc pas pour une Reine un manque de respect ou une marque de désamour à son égard mais au contraire un moyen de l’aider à progresser dans sa soumission, à en repousser les limites, à le libérer des ses inhibitions, à accepter de se livrer sans retenue et à comprendre que l’amour qu’Elle lui porte est intimement lié à sa capacité à comprendre que la satisfaction des besoins d’une Femme dominante est le pivot de ce qui fait la réussite de sa vie de couple.
Enfin lorsqu’Elle aura besoin de tendresse, Elle aura la certitude que les câlins reçus ou donnés ne seront pas vus comme une marque de faiblesse mais comme une part également nécessaire à son équilibre affectif et son besoin d’empathie.
Bref amour et humiliation sont pour une Reine deux termes dont l’association est non seulement parfaitement naturel mais aussi souvent nécessaire à l’équilibre de la relation qu’Elle entretient avec son chevalier