Lorsqu’une Reine reçoit une autre Reine ou une amie suffisamment intime pour être au courant de la relation qu’Elle entretient avec son chevalier sans en être choquée, l’une ou l’autre peuvent, par une petite caresse condescendante sur ses fesses nues, l’encourager à être parfait lorsqu’il les sert.
Lorsqu’il est chaste (et cocu ?), être dans les bras de sa Reine, non pas pour la pénétrer mais pour se branler, doit être vu par un chevalier comme un privilège qu’Elle lui accorde par amour pour lui.
Si la plupart des Reines ne souhaitent pas féminiser leur chevalier, beaucoup d’entre Elles en revanche (à en juger par les blogs de langue anglaise qu’Elles tiennent) trouvent inapproprié qu’il porte des sous vêtements masculins lorsqu’il a un petit zizi et préfèrent lui imposer le port de petites culottes de Femmes.
Outres les avantages énumérés dans cet article, certaines y verront aussi celui de rendre cet écrin pour quéquette plus esthétique qu’un slip ou boxer.
A noter pour celles qui aiment, que l’on peut acheter la seconde en suivant ce lien.
Dans certains milieux (ou certains couples) ce n’est pas la Femme qui est vue comme l’objet sexuel mais bien l’homme. Et c’est à ce dernier de se plier aux désidératas de sa Reine.
Aux pieds de sa Reine, un chevalier perçoit d’autant mieux à quel point Elle est grande et la nécessité de se soumettre à cette grandeur.
Savoir s’abaisser devant sa Reine dans une attitude humble, parce que contrairement au "discours politiquement correct" actuel, amour et égalité ne sont ni synonymes ni liés et qu’une Femme – au delà d’un minimum de qualités humaines qu’elle peut attendre d’un homme – peut aussi souhaiter respect et obéissance de sa part et être exciter avant tout – non pas par les dites qualités (nécessaires mais non suffisantes) ou le physique de ce dernier mais – par le pouvoir (qui est maintenant connu pour être aphrodisiaque) qu’Elle exerce sur lui.
Que ce soit en début de soirée alors qu’Elle a encore sa robe, ou plus tard dans la nuit, une Reine n’offre son sexe à fouiller qu’aux mains de son amant. Son chevalier n’a le droit – lui – que d’utiliser ses lèvres ou sa langue.
Même si une Reine n’a par définition pas besoin de se justifier, Elle peut souhaiter démontrer par a+b à ses amies – afin qu’il n’y ait plus de controverse à ce sujet – que si Elle fait son chevalier cocu, c’est bien parce qu’il a un zizi inadapté et qu’il serait bien incapable de l’en satisfaire.
Un grand moment de solitude pour le chevalier mais un grand moment de plaisir (d’excitation ?) pour sa Reine qui peut ainsi exprimer sa dominance en présence de tiers.
Offrir à son chevalier l’occasion de respirer l’intérieur de sa chaussure : un cadeau pas cher mais très symbolique du type de relation qu’il entretient avec sa Reine.
Dans le mariage, on ne peut jamais vivre heureux quand on y commande tous deux.
Pierre Perret
