Il existe des soirées très spéciales, en général privées et réservées aux adeptes du BDSM (de tous bords), où une Reine peut exhiber son chevalier nu, sans autres conséquence que l’humiliation (et la fierté ?) pour ce dernier de devoir afficher sa soumission en public.
Une chaîne de cheville pour marquer sa liberté, le talon aiguille de sa chaussure reposant sur son pénis : nul doute que dans ce couple le Féminin l’emporte largement sur le masculin.
Il n’est pas de lieu ou de moments où une Reine ne puisse pas entraîner son chevalier à perfectionner les gestes de soumission qu’Elle attend de lui.
Une position commune pour deux Reines qui pratiquent des activités différentes.
Si dans une relation dominante / soumis la fessée devrait avant tout être éducative, elle peut devenir punitive lorsque le chevalier n’a pas obéit à un ordre de ce type qui est :
La fin du 2ème temps de la valse qu’impose une Reine à son chevalier.
Un chevalier doit aussi savoir se comporter en gentleman dans la vie de tous les jours, même si le concept est devenu un peu suranné et qu’il risque de passer pour ce qu’il est (c’est à dire un homme soumis) en public.
Un chevalier amoureux de sa Reine devrait accepter qu’Elle le fasse cocu – si Elle en exprimait l’envie et le besoin – mais devrait aussi, si c’était le cas, l’encourager à prendre un plaisir maximum dans sa relation avec son amant.
La sensualité du cuir mais aussi une marque de distance due à son rang, lorsque cette Reine porte de tels gants pour branler son chevalier.
Dans un couple qui vit sous le régime de la suprématie Féminine, la Reine a bien entendu le droit de mettre la main au cul de son chevalier mais l’inverse est évidemment prohibé.
