A l’issue d’une fessée, non pas punitive mais éducative, une Reine peut très bien consoler et câliner son chevalier pour lui faire comprendre combien Elle est fière et heureuse qu’il la reconnaisse ainsi comme lui étant supérieure.
A l’issue d’une fessée, non pas punitive mais éducative, une Reine peut très bien consoler et câliner son chevalier pour lui faire comprendre combien Elle est fière et heureuse qu’il la reconnaisse ainsi comme lui étant supérieure.
Un chevalier bien dressé sait que l’intimité de sa Reine est non seulement le signe de sa supériorité mais que veiller à son bien être et son plaisir est le pivot de la réussite de leur couple.
Ainsi – quel que soit le moment et sans avoir besoin d’avoir recours à un cérémonial particulier – lorsqu’Elle lui demande de mettre sa tête entre ses cuisses, il comprend instantanément ce qu’Elle attend de lui : être vénérée, léchée, nettoyée dans des moments d’intimité partagée qui sont devenus pour lui les meilleurs moments de la journée.
Un chevalier a beau être convaincu – ou avoir été dressé à le comprendre – qu’une Femme a physiologiquement besoin de pluralité, lorsque sa Reine le fait cocu en sa présence il doit parfois supporter des regards cassants et particulièrement humiliants d’amants triomphateurs ou de sa Reine provocante et un peu moqueuse.
Si ces humiliations peuvent être vues comme nécessaires par sa Reine pour le conduire à plus de soumission,afin d’éviter qu’elles ne deviennent vraiment traumatisantes, il est utile que cette dernière le rassure et lui rappelle qu’Elle l’aime a posteriori.