Lorsqu’une Reine a l’anus particulièrement innervé et sensible, le plaisir intellectuel de sentir le pouvoir qu’Elle exerce sur son chevalier, en lui imposant la bassesse de lui lécher le "trou du cul", se renforce du plaisir physique que lui procure sa langue, dans une caresse qui peut alors la conduire jusqu’à l’orgasme.
Difficile pour un chevalier de soutenir le regard de celui qui le fait cocu, même s’il sait que ses amants font aussi le bonheur de sa Reine.
Une Reine saura toujours trouver un peu de temps dans la journée ou dans la semaine pour revenir aux fondamentaux et rappeler à son chevalier qu’Elle est aussi Maîtresse et lui soumis.
Y a t-il pire frustration pour un homme que de ne pas pouvoir pénétrer le ventre de celle qu’il aime ?
Oui, celle de la voir (ou la savoir) prendre le sexe d’un autre homme afin de l’accueillir dans son intimité.
Après une longue période de frustration il est naturel de se donner à son libérateur même en présence du vaincu.
Malgré sa tenue, il est peu probable que cette Reine soit une vraie infirmière militaire mais il est presque certain qu’Elle a décidé que – pour une fois – c’est Elle qui prendrait soin de son chevalier et que la canule qu’Elle tient dans la main finira dans le cul de ce dernier.
Lorsque le sol s’y prête (à cause des éclaboussures possibles), qu’Elle a la bouche de son chevalier à porter de jet et envie de lui manifester le poids de son pouvoir et de son autorité, une Reine saisie d’une envie pressante peut la soulager – à la différence d’une Femme ordinaire – sans quitter son siège.
Féminiser son chevalier et lui imposer de flirter avec un autre homme lui aussi féminisé (par exemple le chevalier d’une amie qui partage ses goûts) est un fantasme bien ancré chez certaines Reines.
La première fois au moins, si leur soumis est bisexuel, pour le plaisir de voir une scène érotique entre deux hommes.
S’il est hétéro pour les plaisirs :
Il est évident que le but final – dans le cas de la réalisation de ce fantasme – est plutôt de le conduire à devenir bisexuel (même contre son gré initial) que de le "casser" et qu’il faut donc le préparer psychologiquement en amont pour éviter que cette première soit traumatisante.
Quand il est entendu qu’une Reine peut faire cocu son chevalier quand Elle l’entend, Elle peut – même en présence de ce dernier – avec beaucoup de charme mais de manière très directe, faire comprendre à un homme qu’Elle est ouverte (au deux sens du terme) à l’idée de mieux le connaitre.
Quand un chevalier n’a pas le droit de faire l’amour à sa Reine, il lui reste la possibilité de fantasmer sur un vagin en caoutchouc, en espérant qu’Elle le libère rapidement de sa cage.
