" Mon chéri, à ton avis je mets quoi avec ça pour recevoir nos nouveaux amis ? Ma jupe écossaise d’écolière, ma jupette en daim ou ma mini en cuir que tu aimes tant ?"
"A propos je t’ai dit ? J’ai reçu leur test HIV, ils sont séronégatifs…"
Si une Reine aime la sodomie et qu’Elle utilise parfois un petit vibromasseur anal pour sacrifier à ce plaisir, c’est moins parce que la quéquette de son chevalier serait inadéquate que par principe.
En effet, Elle peut juger bon – et on ne saurait lui donner tord – que pour l’équilibre de son couple, il serait malsain que son chevalier puisse jamais penser qu’il pourrait parfois prendre l’ascendant sur Elle, notamment si Elle lui offrait cette partie de son anatomie, autrement que pour la faire vénérer avec sa langue.
Terrible frustration – et humiliation – pour un chevalier qui se voit refuser un plaisir un peu pervers, qu’Elle aime accorder à ses amants ou partager avec un god.
Une Reine a – forcement – tous les droits, notamment celui de vérifier que son chevalier a bien mis, comme Elle le lui avait demandé, une petite culotte en satin (voir l’article précédent) sous ses vêtements masculins.
Un bijou donc l’esthétique ne peut être appréciée que par une Reine (voire un cercle d’initié mais pas par le grand public).
A insérer dans le cul d’un chevalier, pour les grandes occasions ou de manière plus ordinaire, sa taille reste raisonnable mais sa structure en acier le rend suffisamment lourd pour que celui qui le porte n’oublie jamais sa présence ni l’appartenance à celle qui le lui aura inséré.
Dans un couple traditionnel il est souvent d’usage, lorsque l’un des deux sort, de se faire un petit bisou sur les lèvres en se souhaitant une bonne journée.
Dans un couple Maîtresse/soumis, il n’est pas rare que suivant son humeur une Reine demande à son chevalier de l’embrasser (souvent avec la langue) sur une autre partie de son anatomie, afin qu’il n’oublie pas – le jour durant – combien Elle lui est supérieure.