" Tu as vu ce que j’ai trouvé. Un mini gode de la taille d’un suppositoire. J’imagine que tu comprends que si cet objet est rigolo, il est complètement inutile pour la satisfaction d’une Femme. Puisque que ton zizi est à peine plus gros c’est exactement ce que je pense de lui et c’est pour ça que tu es cocu. "
" Je sais bien que le plastique de ce pouf est moins doux que ta peau. D’un autre côté, avec lui je peux sentir quelque chose dans mon ventre. "
Que ce soit parce qu’Elle estime son zizi trop petit pour la satisfaire ou par éthique en refusant d’être "possédée" par celui qu’Elle possède, une Reine peut souhaiter s’abstenir de faire l’amour à son chevalier.
Si les amants sont une bonne alternative pour éviter la frustration de ne pas être pénétrée, ils ne remplacent pas les étreintes avec celui dont Elle est normalement la plus amoureuse.
Lui faire porter un gode-ceinture, dont le phallus serait à la taille idéale pour Elle, constitue une bonne solution de substitution, car même si les sensations ressenties sont légèrement différentes de celles provoquées par un vrai pénis, Elle peut être sure de sa résistance et que son "amant" sera uniquement concentré sur son plaisir à Elle puisqu’il n’en aura pas lui-même (en tout cas dans sa quéquette).
Il est des moments où pour une Reine son chevalier n’est plus – au même titre que ses godes – qu’un objet sexuel destiné uniquement à la satisfaire.
" Tu as vu mon amour comme je sais rester Féminine malgré cette bite que je porte entre mes jambes ? Et pourtant, elle est plus grosse que la tienne… "
Un god idéal (ou presque) à attacher sur le menton de son chevalier et qui laisse sa bouche libre et disponible.
Ainsi, suivant la position qu’Elle aura choisie, une Reine pourra profiter non seulement du plaisir de se sentir pénétrée mais également de recevoir en même temps une stimulation clitoridienne ou anale offerte par la langue de son chevalier.
Photo – ou scène vécue – pour confirmer à son chevalier que cette Reine ne saurait prendre d’amant dont la taille du sexe serait inférieure à celle d’un de ses plus petits gods donc – généralement – largement supérieure à sa quéquette à lui.
A moins que ce ne soit pour lui faire comprendre qu’après lui avoir appris à sucer un god, Elle attend maintenant plus de lui.
"Regarde-moi bien faire car à partir de maintenant c’est toi qui devra préparer et lubrifier mes gods avant que je ne m’en serve."
"Tu devras les sucer comme je le fais, en imaginant exciter la queue d’un de mes amants. D’ailleurs il est pour toi une sorte d’amant qui te fait cocu puisqu’il est destiné à se glisser dans une partie de mon corps ou ta quéquette n’ira jamais."
"A ce titre tu devras l’honorer et le vénérer comme tu le fais avec mes bottes et mes culottes, en y mettant le même entrain et la même conviction."
"Je t’apprendrai toutes les techniques qui rendent un homme heureux et tu devras y ajouter la passion pour qu’en te regardant faire mon excitation soit la même que lorsque je le fais."
" Maintenant prend le god noir et fait comme moi, suce le bien. Dès qu’il sera prêt tu pourras le glisser dans ma chatte et je t’apprendrais comment me faire jouir avec une queue bien plus réelle que la tienne."
Parmi les nombreuses règles qui régissent une relation Reine / chevalier, celle qui pourrait consister à imposer au chevalier la gestion des gods de sa Reine.
En option : suivant ses souhaits, devoir opérer à la place de cette dernière et la remercier de l’avoir fait cocu avec un god.
A l’adresse de son chevalier, le sourire de cette Reine qui vient de lui rappeler pourquoi il ne lui ferait jamais l’amour mais également de lui expliquer qu’Elle aura rapidement besoin de sa bouche, pour préparer un outil qui pallie à ses carences.
