Lorsqu’après avoir fait l’amour à un amant, une Reine offre à son chevalier son intimité à nettoyer, ce dernier s’il est bien dressé, qu’Elle offre à sa langue sa cyprine ou du sperme, fera passer son humiliation derrière l’avidité qu’il aura à accomplir une tâche pour laquelle il aura été conditionné.
Si pour une Reine dresser un homme et prendre l’ascendant psychologique sur lui est avant tout un plaisir intellectuel, il n’en est pas moins vrai que savoir qu’il accepte de lui obéir et de subir ses humiliations déclenche aussi chez Elle un plaisir physique qui peut la pousser à se masturber et à alimenter ses fantasmes.
Lorsqu’Elle s’offre ainsi à son regard, un chevalier qui vient d’entrer au service d’une Reine doit oublier ses vieux réflexes et comprendre qu’Elle n’attend pas de lui qu’il la possède (c’est réservé à ses amants) mais qu’il vienne la lécher.
Si une relation dédiée à la suprématie Féminine n’est en aucun cas un jeu mais un art de vivre, la théatraliser parfois ne peut qu’en renforcer l’esprit et rendre la position adoptée par chaque partenaire (notamment celle du chevalier) plus palpable.
Dès l’antiquité, les Reines égyptiennes avaient compris que des hommes de conditions inférieurs pouvaient, grâce à un bon dressage et la frustration liée à leur chasteté, être des auxiliaires de vie parfaits en s’acquittant de tâches que rechignaient à pratiquer leurs amants ou leurs servantes.
" Petit pervers : ça t’excite de voir une Femme pisser ?… Moi ce qui m’excite c’est de savoir que dans moins de 30 secondes c’est ta langue qui va me servir à m’essuyer ! "
Porter une alliance signifie pour une Reine qu’Elle assume être mariée à un homme à qui Elle a promis sa fidélité de cœur mais absolument pas que le sperme qui s’écoule de son vagin doive provenir du sexe de cet homme.
Lorsque la langue d’un chevalier est utilisée comme savonnette pour nettoyer l’intimité de sa Reine, il devient à ses yeux moins objet d’amour qu’objet fonctionnel et à ce titre il perd de la valeur et lui devient (au moins à cet instant) très largement inférieur.
Pour un chevalier comme pour un petit garçon il est des gourmandises dont ils ne sauraient se passer.
Preuve s’il en était besoin que dans tout chevalier sommeille un petit garçon dont les talents pourront être développés par certaines Reines.
De retour chez Elle, il n’est pas rare que la première chose que fasse une Reine – parfois après un pipi où Elle n’aurait pas besoin de prendre la peine de s’essuyer – soit d’offrir son intimité à la langue de son chevalier, afin qu’il lui prodigue une toilette à la fois nécessaire mais également roborative.
