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Emplacement

Lorsqu’une Reine fait porter à son chevalier une cage de chasteté, Elle peut souhaiter conserver la clef sur Elle pour la rendre visible auprès de tierces personnes.

Plusieurs possibilités s’offre alors et parmi celles-ci :

La porter autour du cou.

Même si c’est là qu’elle sera sans doute le plus visible, les non initiés n’y feront pas attention et les initiés à moins de la demander ne seront pas sûrs de sa signification qui pourrait être aussi un symbole du style la "clé de mon coeur".

La porter sur une chaîne de cheville.

C’est la façon la plus cruelle de la porter vis à vis de son chevalier puisque les initiés – au moins – sauront qu’il est non seulement cocu mais en plus contrôler sexuellement.

La porter sur une chaîne de taille

Beaucoup plus discrète puisqu’a priori non visible mais à la symbolique forte (et parfois double) :

  • Nichée contre son pubis elle indique clairement la supériorité du sexe Féminin (libre) sur le sexe masculin (contrôlé),
  • Si son chevalier est chaste, elle peut être aussi le symbole de la clé qui interdit l’accès à l’intimité de sa Reine.

Valse à 3 temps

Lorsqu’une Reine souhaite se déchausser en fin de journée, son chevalier doit être disponible pour l’aider dans une valse à 3 trois temps au cours de laquelle il devra :

  • embrasser ses bottes ou chaussures et les lui ôter,
  • embrasser ses bas et les lui ôter,
  • embrasser ses pieds et/ou les lécher si nécessaire,

Avant de tout ranger et de lui apporter et de lui passer  les mules ou chaussons qu’Elle aura choisis.

Culottes sales

Si la lingerie Féminine est conçue pour séduire les hommes, vous seriez étonnée Mesdames qui me lisez (surtout celles en recherche de chevalier ou celles qui sont simplement curieuses) de savoir combien un homme à tendance soumise (assumée ou inhibée) peut être attiré par une petite culotte qui a été portée.

Plus elle sera (raisonnablement *) tachée et porteuse des odeurs de l’intimité de sa Reine, quelle qu’elles soient (transpiration, excitation, trace d’urine, voire du sperme s’il est cocu) et plus son chevalier (en général) sera excité à l’idée de glisser son nez contre son fond.

Cela sera d’autant plus vrai s’il est chaste (donc interdit de pénétration) et que la frustration engendrée conduira à le rendre fétichiste des objets portés par sa Maîtresse comme objets transitionnels.

Or qui a t-il de plus proche de cette intimité – dont il ne pourra pas jouir comme tout amoureux souhaiterait le faire – que cet écrin qui la protège ?

Qui parmi les hommes (toutes tendances confondues) n’a pas petit garçon ou jeune adolescent, connu ses première émotions sexuelles en allant plonger le nez dans le panier de linge sale qui se trouvait chez un copain ou une copine ? Qui parmi ceux-ci ne s’est pas branlé lorsqu’il était encore puceau en sentant une petite culotte et en rêvant qu’il faisait l’amour à sa propriétaire ? Peu oserons vous l’avouer dans les yeux Mesdames mais ils sont très nombreux.

Si cette tendance (perversion ?) disparait chez la majorité des hommes dès leur dépucelage, le sexe de la Femme devenant plus un objet de plaisir qu’un objet de désir (en tout cas inassouvi), elle reste souvent bien présente chez un homme soumis.

Donc, plutôt que s’en offusquer, l’encourager dans cette voie permet à une Reine de le replonger dans ses émotions d’enfance et de renforcer le rapport adulte/enfant qu’il y a dans une relation Maîtresse/soumis.

Enfin, savoir que son chevalier loin d’être incommodé par ce qu’Elle considère être des petits tracas de sa Féminité, est au contraire fasciné par ces derniers, lui permettra de se sentir aimée de manière inconditionnelle comme toute Déesse devrait l’être.

*Portée 24 h (et pas une semaine, là aussi arrêtons de fantasmer et soyons raisonnable)

Ecrin pour quéquette

Puisque qu’il n’y a pas d’alternative entre les deux sexes, imposer le port de petites culottes de Femme à son chevalier a moins pour but de le rendre plus féminin (ce qu’il ne pourrait pas être d’ailleurs dans la plupart des cas) que de le rendre moins masculin (comme lorsqu’il est nu).

En effet, quel que soit son degré de soumission, un homme a été éduqué dans un monde ou le masculin l’emporte bien souvent sur le féminin.

Lui faire perdre ses repères masculins le conduit donc plus facilement à accepter plus facilement la supériorité féminine.

Cette perte de repère sera d’autant plus prégnante, lorsque son zizi emballé dans un string de Femme (donc non prévu pour recevoir cet appendice) sera incapable d’en décoller l’élastique à la taille, même en érection.

Masturbation VS branlette

L’auto stimulation sexuelle n’a ni la même signification ni la même valeur chez une Reine et chez son chevalier, d’où l’importance de la différencier aussi par les mots.

Une Reine se masturbe.

La masturbation est chez une Reine un moyen comme un autre (et ce d’autant plus qu’Elle a des amants) de préparer ou d’atteindre un orgasme.

Elle peut :

  • Stimuler son clitoris, son vagin ou les deux à la fois.
  • Utiliser ses doigts ou des accessoires.
  • Le faire en présence de son chevalier ou lui demander de la laisser seule.
  • Le faire à tout moment qu’Elle aura décidé.

La masturbation est donc pour une Femme un acte sensuel et sexuel comme un autre, qui s’inscrit naturellement dans la palette des outils susceptibles de lui apporter le plaisir.

Un chevalier se branle

Pour peu, ce qui est souvent le cas, qu’il soit rendu chaste par sa Reine, la stimulation manuelle est le seul moyen pour un chevalier d’atteindre le plaisir.

A la différence d’une Reine :

  • Cette pratique est chez l’homme beaucoup plus mécanique, voire ridicule pour qui le regarde faire.
  • Il n’est généralement pas (surtout s’il porte une cage de chasteté) maître du moment où il pourra la pratiquer.
  • Il est souvent obligé de le faire sous le contrôle visuel de sa Reine (et parfois d’autres personnes).

Bref cette pratique – normalement solitaire chez un homme – qui pourrait (à la limite) être considérée comme normale dans un couple ordinaire mais qui est souvent l’unique moyen pour un chevalier d’atteindre la jouissance, devient humiliante puisqu’encadrée et contrôlée.
 

L’humiliation d’être nu

Depuis la nuit des temps l’homme cache ses parties génitales (moins par pudeur au début que pour les protéger) et aujourd’hui la nudité le fait se sentir vulnérable.

Ce sentiment est d’autant plus fort lorsque c’est face à une personne habillée, qui plus est une Femme.

Un homme habillé en "mec" peut toujours donner l’illusion qu’il est un vrai "mec". Nu, le masque tombe souvent.

Etre nu devant une Femme habillée c’est ne pas pouvoir se cacher derrière les apparences, invoquer une forme de supériorité quelconque, revendiquer des droits mais au contraire se sentir petit garçon à qui on interdit toute forme de pudeur.

Pire, être nu devant Elle c’est aussi exposer son sexe et prêter flanc à la critique (s’il n’est pas imposant) ou aux moqueries (s’il est particulièrement petit) donc accepter la remise en cause de sa virilité (ou de son absence) au profit des valeurs de la Féminité portées par celle devant qui on s’exhibe.

Accepter de se dévêtir ainsi sur ordre c’est reconnaitre sa soumission envers la Maîtresse qui l’ordonne et donc le respect qu’on lui doit.

Si la nudité 24h/24, 7j/7 en présence de sa Reine fait partie des fantasmes, des exercices réguliers (quotidiens ?) mettant le chevalier dans ces conditions face à Elle renforcent naturellement le pouvoir qu’Elle exerce sur lui.