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Sans parole

La langue peut servir à exprimer des sentiments autrement qu’en étant l’outil de la parole.

Ainsi, lorsqu’un chevalier lèche l’anus de sa Reine, cette dernière doit ressentir, la tendresse, la dévotion, l’obédience, le désir d’appartenance, c’est à dire non seulement l’amour qu’il lui porte mais également, vue la partie de son corps qu’il vénère, la reconnaissance et l’acceptation sans réserve de sa supériorité.

Position

Jamais dans cette position (ni aucune autre d’ailleurs), un chevalier au petit zizi ne pourrait donner à sa Reine le plaisir de sentir son vagin plein jusqu’à son utérus, au point de crier de bonheur.

C’est sans doute pour cela (lorsqu’il a un petit zizi) que beaucoup préfèrent lui refuser toute forme de pénétration, afin qu’il ne les déçoivent pas et préfèrent trouver des amants bien membrés pour palier à ses carences sans être frustrées.