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Cuillerée

Par définition une relation D/s est fondée sur la confiance et une Reine ne fera jamais rien qui puisse mettre en danger l’intégrité physique de son chevalier.

Partant de ce principe, lorsque cette dernière tend une cuillère à son chevalier et quel que soit son contenu, sperme, urine, diurétique, laxatif ou tout simplement de la nourriture, il devra l’ingurgité sans sourciller, quand bien même les effets immédiats ou à venir pourraient lui causer un désagrément.

Cette obligation est d’autant plus grande lorsqu’Elle est avec une amie et qu’il serait particulièrement mal venu de remettre en cause son autorité – et la qualité de son dressage – en présence de celle-ci.

Allier utile et agréable

Se faire lécher les pieds par son chevalier est pour une Reine un bon moyen de joindre l’utile à l’agréable.

D’un côté sa langue la débarrasse des odeurs de transpiration liés à son activité de la journée, de l’autre elle lui permet de profiter d’un doux massage lingual aussi agréable que réparateur.

Enfin elle s’assure – et ce n’est pas la moindre des choses – du degré d’obédience et de soumission de son chevalier ainsi que de sa capacité à vénérer chaque partie de son corps.

Le Martinet

L’objet

Alternative à la fessée ou à la cravache, le martinet constitue parfois une pièce essentielle dans le cadre du dressage d’un chevalier.

Là encore, il peut ne pas être uniquement punitif mais également un objet de conditionnement, visant à mettre le chevalier dans un état de petit garçon acceptant de plier devant l’autorité Féminine.

Une idée de rangement

Plutôt que de le ranger dans un placard ou une boite, le mettre dans un sac à main en fera au moins symboliquement un accessoire indispensable à la Reine – au même titre que son rouge à lèvres – et signifiera qu’il est clairement destiné à appartenir à un Femme (et à utiliser comme Elle l’entend).