Dominantes jusqu’au bout des ongles certaines Reines le sont aussi avec leur(s) amant(s) qu’Elles aiment voir nu(s) alors qu’Elles ne leur(s) offre(nt) que leur intimité pour prendre leur plaisir sans se donner totalement.
En option : La clé de la cage de chasteté que porte son chevalier (est-ce lui qui a pris la photo ?) accrochée à son cou, pour le maîtriser lui aussi.
Ce n’est pas parce qu’un chevalier est incapable de satisfaire sexuellement les besoins de sa Reine que cette dernière ne souhaite pas partager émotionnellement ses orgasmes avec lui, quand bien ce serait d’autres hommes qui les lui procureraient physiquement.
Un chevalier bien dressé doit comprendre les codes qui font qu’une Reine attend qu’il vienne s’installer à ses pieds en attendant ses ordres.
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De vraies low boots à lacet (sans zip) pour le moins piquantes. Beaucoup de travail en perspective pour le chevalier de la Reine qui les porte lorsqu’il doit les lacer ou les délacer mais surtout lorsqu’il doit les entretenir.
Les chevaliers, les Reines les aiment aussi pour ça.
L’archétype de la Femme dominante que l’on croise parfois dans la rue. La robe de cuir, la démarche assurée et les lunettes qui cache son regard, ne permettant pas de lire quelles sont ses intentions.
Lorsqu’une Reine aime particulièrement une paire de cuissardes (de bottes ou de chaussures) son chevalier doit veiller à les entretenir à la perfection pour qu’Elle soit toujours fière de les porter.
A la différence de beaucoup de Femmes, une Reine n’hésite souvent pas à amener un amant dans sa propre chambre à coucher et se garde de toute fausse pudeur en ne rangeant pas (ou ne retournant pas) sa photo de mariage.
Quand une Reine appelle son chevalier, ce dernier doit venir sans tarder, ni demander pourquoi puisque c’est Elle qui décide. Cela fini parfois (souvent) comme ça.
Une copie de fusain qui devrait être en évidence dans la chambre de chaque Reine, pour rappeler (à son chevalier et/ou son mari) ou indiquer (à ses amants) que le plaisir de la Femme prévaut sur celui de l’homme et qu’Elle entend bien ne plus jamais déroger à cette règle.
