Archives du mot-clé Chaussures

Déstabilisante

Lorsqu’Elle porte un tailleur en cuir, une Femme peut-être vue comme une proie pour certains hommes (qu’Elle saura en général remettre à leur place) ou inversement pour d’autres – dont je fais partie –  les rendre timides et les déstabiliser au point de leur faire perdre (tous) leurs moyens.

Un bon moyen pour une Dominante de jauger son interlocuteur.

Conditionnement olfactif

Lorsqu’une Reine souhaite à terme voir ses pieds (et tout ce qui s’y rapporte) vénérés par son chevalier, lui apprendre à accepter puis aimer voire adorer leurs odeurs peut faire partie du processus de dressage mis en place pour le conduire à pratiquer régulièrement la valse à trois temps.

Adoubement

Une image (au moins autrefois) présente dans les livres d’histoire, rappelant l’esprit chevaleresque d’hommes se mettant au service de leur Reine en promettant :

  • de la défendre et de la servir,
  • de l’honorer,
  • de lui être fidèle.

 

Il existe aujourd’hui encore des hommes – trop peu nombreux -qui acceptent de se placer sous l’autorité d’une Femme.

Si la cérémonie d’adoubement est moins solennelle (mais en contrepartie elle peut être récurrente), elle n’en reprend pas moins les mêmes ingrédients qu’autrefois en les adaptant à notre culture.

Ainsi :

  • Puisqu’il n’existe plus de tenue de Reine la Femme adopte une tenue qui symbolise son pouvoir Féminin (Cuir, bas, chaussures à talons)
  • Puisqu’il n’existe plus de tenue de chevalier, l’homme est nu pour prouver son humilité.
  • Le sexe de l’homme sous le pied de la Femme signifie qu’il dépose son arme (le pénis symbole de la virilité remplaçant l’épée) à ses pieds il accepte qu’Elle contrôle sa sexualité.
  • La tête de l’homme sur la cuisse de la Femme est le symbole non seulement de son obédience mais également  (c’est au moins aussi important) de la confiance qu’il lui porte.

NB : Si autrefois un chevalier partait guerroyer pour défendre les intérêts de sa Reine, aujourd’hui il la sert en étant proche d’Elle, ce qui lui donne de multiples occasions de reconnaitre sa soumission.