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Sélection naturelle

A la droite de cette Reine, son chevalier qu’Elle aime d’amour mais dont la quéquette ne saurait la satisfaire, à sa gauche un de ses amants dont la principale qualité est d’avoir, lui, un pénis capable d’assouvir son appétit sexuel.

C’est pourquoi, malgré tout l’amour qu’Elle porte au premier, Elle a décidé de n’offrir sa bouche ou son intimité qu’aux seconds.

Conditionnement au cocufiage

Au début de leur relation et durant sa phase de dressage, il peut être bon pour une Reine d’inviter parfois son chevalier à la regarder faire l’amour à un amant tout en lui demandant de se branler.

Ainsi à terme, qu’il soit présent ou non, son zizi encagé ou pas, il y aura confusion dans son esprit entre l’humiliation d’être cocu et sa propre excitation sexuelle à cette idée.

Une fois la chose acquise, il deviendra beaucoup plus facilement complice de sa Reine lors de sa préparation à ses rendez-vous, voire même pourra aller jusqu’à l’encourager à les multiplier.

Plaisir solitaire partagé

"J’adore te voir ainsi mon amour. Et toi ? Tu aimes te branler devant moi en imaginant que tu pourrais me faire l’amour ou en pensant à tous mes amants qui goûtent la chaleur de mon ventre alors que tu ne le feras jamais ?

Je sais que tu as honte d’avoir une petite quéquette et de n’avoir accès au plaisir que lorsque je t’autorise à la tripoter devant moi.

Je sais que tu as honte d’être cocu et de ne pouvoir jouir dans ma chatte comme d’autres le font mais quand on a un zizi de petit garçon on a des plaisirs de petit garçon.

Je sais que tu as honte de t’exhiber ainsi devant moi mais je suis ta Maîtresse et à ce titre je dois aussi veiller à ton hygiène sexuelle et vérifier que tu vides bien tes petites couilles quand je le désire et comme je le désire.

Et puisque ton sperme est inutile à mon propre plaisir, je veux qu’il serve aujourd’hui à nourrir le cuir de mes bottes.

Vas-y mon chéri. Maintenant tu peux me demander la permission de te vider. N’oublie pas de bien viser et de me remercier après de t’avoir accorder l’autorisation de l’avoir fait"

Attentions

Il n’est pas rare qu’une Reine qui fait son chevalier cocu lui interdise ce qu’Elle accepte de ses amants à savoir le droit de la pénétrer.

Ce n’est pas une raison pour Elle d’oublier les besoins de ce dernier et de ne pas stimuler parfois son zizi par des caresses affectueuses.

Au contraire même, puisqu’en l’absence de pénétrations (et de fellations) elles se situent – juste après la branlette – à l’avant dernière étape sur l’échelle du plaisir qu’il peut recevoir de la part de sa Reine et qu’à ce titre, que ce soit physiquement ou émotionnellement, elles ont beaucoup plus de valeurs que lorsqu’elles sont pratiquées dans le cadre d’une relation traditionnelle.

Sans intermédiaire

Il arrive parfois qu’une Reine confie à son chevalier une culotte tachée de sperme afin qu’il la nettoie. Dans sa grande bonté – mais aussi pour accroitre sa frustration – Elle pourra également de temps en temps autoriser ce dernier à – lui aussi – en salir une avec sa propre semence au cours d’une de ses branlettes. 

Bien sûr la tâche sera moins concentrée et sans doute pas vraiment placée au même endroit, puisque le liquide issu du jet ira directement du zizi à la culotte, sans passer par le vagin de sa bien aimée.

 

Moment de demi fête

Se branler en ayant le droit de jouir sur le pubis de sa Reine est pour un chevalier chaste et cocu un grand moment d’excitation mais aussi d’humiliation pour peu que cette dernière soit assez perfide pour lui rappeler – alors qu’il s’astique – que d’autres hommes ont le droit de se vider non pas sur son ventre mais DANS son ventre.

Gants Mappa

Ce n’est pas parce qu’Elle donne du plaisir à son chevalier qu’une Reine ne doit pas le rendre néanmoins humiliant.

Le branler parfois en portant des gants de vaisselle rendra son plaisir – en attendant le moment de la jouissance –  beaucoup plus diffus et moins agréable qu’à main nue (ou gantée de cuir).

Le branler ainsi c’est aussi lui signifier qu’Elle n’y prend pas de réel plaisir et que cette purge constitue pour Elle un acte ménager, au même titre que de déboucher un évier.