A la fois maternelle et dominante, proche et distante, le plaisir de faire plaisir à son chevalier mais aussi celui de le conditionner, par la chasteté et des branlettes répétées données sous forme de récompense, à se sentir petit garçon face à Elle, jusque dans une sexualité qui le verra accepter comme finalité ce qu’un adulte considère comme préliminaire.
Parfois le soumis n’a même pas le plaisir de se masturber ou mieux d’être masturber par sa maîtresse. Son seul plaisir peut se limiter être vidé par un massage de la prostate. Dans ce cas sa sexualité se limite a satisfaire sa maîtresse avec sa bouche.
Exactement ! Ou être masturbé jusqu’à la limite de l’orgasme, plusieurs fois de suite et rester sur sa faim.
Si le soumis chaste éjacule déjà lors des préliminaires, c’est qu’il n’est donc naturellement pas destiné à la penetration.
Il n’y a donc aucune raison de lui permettre d’honorer sa Reine autrement qu’avec la langue, ni de le libérer de sa cage.