Pour un chevalier franchement hétérosexuel, devoir pour le plaisir de sa Reine (qui aura théâtralisé ou pas la chose) toucher, caresser ou même branler le sexe d’un autre homme est un passage de cap difficile à réaliser et un vrai acte de soumission, pouvant le conduire – si l’expérience ne s’avérait pas traumatisante – a devoir réorienter partiellement sa sexualité (au moins et toujours pour le plaisir de sa Reine).
Un vrai plaisir de cocu , que de branler la queue de son amant
Lorsque sa Maitresse a pris ta virginité pourquoi pas par son amant.
super ça d’etre branle par s a femme avec une autre bite contre la sienne de sorte qu elle branle les deux en meme temps, l’une contre l’autre