Lécher l’anus (propre) d’une femme en dehors de toute relation sexuelle et juste parce qu’elle l’ordonne n’est-il pas un des meilleurs moyens de lui prouver sa soumission à son égard ?
Ridicule
Je l’avoue j’ai un sexe de taille ridicule (entre 5 et 8 cm au repos et 10 cm en érection alors que la moyenne est d’environ 15 cm pour un européen) qui se situe dans la tranche des 2% les plus petits par rapport à l’ensemble de la moyenne des mesures scientifiquement faites.
Sachant que 85 % des femmes se contentent de la taille du sexe de leur partenaire, j’imagine que je pourrais aisément faire partie des partenaires non satisfaisants pour les 15% restantes.
Si la taille de mon sexe n’a aucune influence sur le fait que j’ai des pulsions comme tout homme, j’imagine volontiers que dans de nombreux cas elle puisse être un frein au plaisir que je pourrais apporter à une femme (sauf une petite puce, jeune et au vagin étroit, ce qui m’a sauvé parfois).
C’est pourquoi mais si je n’en fait pas un préalable – c’est après tout elle qui décide – j’imagine qu’il y a une forte probabilité pour que ma future Reine pour éviter toute frustration me refusera toute forme de pénétration (ce qui a de nombreux avantages par ailleurs) et me fera cocu.
Peut-être serai-je ainsi plus respectueux de sa Féminité mais en tout cas cela ne m’empêchera pas de l’aimer tout autant que dans une relation traditionnelle.
En cuir à la maison
Poème du matin
Bottée, gantée de cuir, une robe de satin,
Couvrant des bas de soie, une culotte en dentelle,
Elle se sent très Femme et terriblement belle
Et de plaisirs charnels elle a soudain très faim.
Allongé devant Elle, soumis, nu, épilé,
Petit mâle humilié gisant là à ses pieds,
Lui qu’elle aime ainsi voir et qu’elle a éduqué
A rendre chaque jour hommage à sa féminité.
Elle se sent Déesse et si elle en doutait
Un regard à ses pieds et un zizi dressé,
Lui rappellerait sans doute le pouvoir dont elle use
Sur celui programmé qui en a fait sa muse.
Elle soulève sa robe et offre à son regard
Cet écrin de dentelle qui la protège encore.
Elle descend doucement, ses jambes de part en part,
Pour lui offrir ainsi la douceur de son corps.
Elle aime prendre son temps et sentir ses baisers
Sur ce morceau d’étoffe aux reflets irisés
Qui cache ce vagin, petit jardin secret,
Triomphe féminin de la fécondité.
Elle profite à l’instant de sensations prégnantes
Mais ne va pas tarder à ôter cette barrière,
Pour mieux sentir sur l’intimité de ses lèvres
Le contact charnel d’une langue obéissante
Elle le pousse de la voix, elle veut se sentir Reine
Qu’il embrasse ses fesses qu’il lèche son anus !
Hommage pitoyable qu’il rend à sa Vénus,
Le sentir inférieur, pour qu’elle jouisse sans peine.
Elle veut le sentir boire les nectars qu’elle lui donne,
Qu’il hume les odeurs qu’elle a crée pour lui
En pensant il y à peu à ce moment qu’elle vit,
Qu’il lave de sa langue sa délicieuse aumône.
Et passent les minutes en étant accroupie
Sur cette bouche ouverte qui lui sert de bidet
Voir même peut être plus , elle pourrait faire pipi
Puisqu’elle à tous les droits et qu’il n’est que laquet
Et passent les minutes, elle sent que se rapproche
Le moment attendu qui va la délivrer.
Elle s’abandonne enfin à le traiter de salope,
A l’humilier encore pour se sentir plus forte.
Et passent les minutes, ses jambes l’abandonnent.
Elle sent ce doux moment ou tout son corps frissonne.
Elle jouit de tout son saoul en s’écrasant sur lui,
Qui reste sur sa faim, il n’a pas joui… tant pis…..
Ce que pourrait dire une Reine à son chevalier
Regarde cette cravache, symbole de mon pouvoir :
- Pouvoir te punir
- Pouvoir te faire souffrir pour MON simple plaisir.
- Pouvoir te faire simplement peur et te demander de ramper devant MOI
Mais aussi….
- Pouvoir d’être libre de MON corps, de MON esprit, de la manière dont JE te veux aimant, de la manière dont JE veux t’aimer.
- Pouvoir me sentir Adolescente, Femme, Maîtresse quand JE le veux, comme JE l’entends.
- Pouvoir avoir MES doutes, MES certitudes, MES envies, MES pleurs, MES fantasmes, MES plaisirs.
- Pouvoir être Princesse ou catin, Déesse ou chienne, intime ou distante mais pouvoir exiger de toi, quel que soit l’instant, le respect que tu ME dois.
- Pouvoir t’abaisser pour ME sentir plus grande, t’humilier pour ME sentir plus REINE, te câliner pour te réconforter, décider de ce qui est bon pour toi quand j’estime que cela est bon pour MOI.
- Pouvoir faire de toi MON confident, MON complice, MON mec, MA pute, MA lopette, MON objet sexuel, MA chose, suivant MON humeur du moment.
- Pouvoir ME tromper et pouvoir te tromper, Me lâcher et te frustrer, être LIBRE et te contrôler.
- Pouvoir Me faire servir, penser à MES PLAISIRS avant de penser aux tiens.
- Pouvoir être enfin FEMME, Supérieure, grâce à toi, parce que tu ME reconnais ce DROIT, ainsi qu’à CELLES que J’aime, librement et sans le contester.
Reste à genoux devant MOI MON AMOUR, cette place te va si bien…Embrasse MES bottes, doucement, en signe d’obédience à MA personne. Rend-MOI fière de t’avoir choisi et heureuse de TE posséder pour toujours.
Epilation
Il y a un certain nombre de raisons de raser les parties génitales et les poils pubiens d’un homme. En premier lieu parce que cela le rend vulnérable. Cela lui donne l’air et le sentiment d’être un petit garçon et cela donne à la femme dominante une grande supériorité lorsqu’elle utilise l’humiliation dans le cadre de sa formation. Elle peut se moquer en lui disant qu’il ne ressemble pas à un vrai homme et qu’il doit donc être traité comme un petit garçon avec un zizi de petit garçon. L’humiliation d’un homme est très forte quand ses parties génitales sont rasées et lisses. Il se sent beaucoup moins mâle, beaucoup moins viril. Cela a un vrai effet psychologique sur lui.
Un autre avantage de maintenir votre soumis rasé c’est que cela permet un accès facile à ses parties génitales pour jouer avec son «zizi » et ses testicules ou pour utiliser un dispositif de chasteté. Les poils pubiens peuvent rester emprisonné dans un tel dispositif et entraîner une douleur non-érotique. Un sexe doux et lisse est tellement plus attirant pour les jeux érotiques que vous pouvez pratiquer sur lui. Enfin s’il porte un dispositif de chasteté, un sexe rasé assure également une meilleure hygiène.
En conclusion, cela envoie un signal et définit un statut social quand un homme est rasé. La plupart des femmes dominantes gardent leur soumis rasé pour lui rappeler constamment, ainsi qu’aux femmes qui pourraient le regarder, qu’il est sous l’emprise et possédé par une femme ou une Reine dominante.
Le pouvoir des bottes
Traduction d’un texte d’Elise Sutton (Psychologue américaine et Dominatrice)
Les bottes sont un symbole de la puissance et de la supériorité Féminine. Les hommes sont connus pour devenir physiquement et mentalement faibles juste à la vue de bottes en cuir portées par une Femme. Le cuir est déjà en soi une matière fétichiste puissante et les bottes en cuir renforcent ce pouvoir fétichiste vis à vis des hommes soumis La plupart d’entre eux trouvent les jambes des Femmes sexuellement très attirantes. Emballez ces jambes dans des bottes en cuir avec les hauts talons qui les valorisent ainsi que leurs fesses, et ils deviennent totalement vulnérables. La botte d’une Femme est également une arme. Elle est sexy dans son aspect mais son talon pointu est une arme dangereuse qui peut meurtrir la chair L’aspect d’une Femme en bottes asservit un homme alors que ses talons peuvent le torturer.
Placez un des talons de vos bottes (ndlr : propres) dans sa bouche et demandez-lui de le sucer. Regardez-le faire. Observez comme il lui fait l’amour. Il se perd dans votre monde fétichiste de domination Féminine. Pendant qu’il le fait, commencez à lui murmurer des choses telles que, " Tu sens comme ma botte te possède ? Ici tu n’as plus d’inquiétudes, plus de souçis, plus de problèmes. Tu aimerais rester à ma botte ? Tu en as si longtemps rêvé, n’est ce pas ? D’être à la botte d’une Déesse. " … Maintenant il est prêt à les adorer. Ordonnez-lui de commencer par la pointe et de lécher la botte sur toute sa surface… Permettez-lui de se perdre dans votre monde fétichiste
Pour moi, la domination par les bottes implique une certaine intimité. Les chaussures et les bottes sont reliées à mon corps et je peux sentir la légère sensation de la langue à travers la matière de la chaussure ou de la botte. Faire embrasser vos pieds, lécher ou sucer vos orteils est une activité sensuelle que je classerais dans la catégorie des préliminaires sexuels. Les bottes placent une barrière entre le mâle soumis et le corps de la Femme mais la botte devient une prolongation du corps de la Femme. Un homme fétichiste des bottes restera à vos pieds à les adorer tant que vous ne lui demanderez pas de rendre hommage à une autre partie vôtre corps. La domination par les bottes est l’une de mes activités de Dominante préférées. Il y a un élément de sensualité à sentir homme vénérer vos bottes mais c’est certainement l’image mentale renvoyée et les aspects psychologiques liés à cette pratique qui rendent la chose vraiment excitante.
Infidélité masculine
Comme évoqué dans l’article précédent, la fidélité de la Reine envers son chevalier est une question de choix personnel de sa part mais pas une obligation. La fidélité du chevalier est – elle – non négociable.
Faut-il néanmoins prendre le terme fidélité au sens strict ou au sens large ? Dans le second cas on peut estimer qu’avoir un orgasme en l’absence de sa Reine ou sans son autorisation est pour le chevalier un acte d’infidélité. Même dans le cas ou il n’y a jamais entre eux de rapports traditionnels avec pénétration, la semence du chevalier, inutile à double titre, appartient à la Reine. Se libérer de cette semence ne peut donc être fait sans son accord. C’est bien sur, avant tout, une question de principe mais aussi d’intérêt.
Puisqu’un homme contrôle en général mal ses pulsions sexuelles il est normal que la Femme l’aide à le faire. Par ailleurs il est reconnu qu’après un orgasme la libido du mâle décroît fortement, là aussi la Femme doit pouvoir décider du moment le plus opportun pour le laisser se libérer. Enfin, qui dit plaisir solitaire ne dit pas plaisir caché et le caractère honteux de sa masturbation ne doit pas s’accompagner d’une pudeur mal venue de la part du chevalier
Ce contrôle exercé sur le chevalier doit avant tout être fondé sur la confiance. Une Femme sentira assez facilement, en général, s’il y a eu transgression de la part de l’homme. Lorsque c’est possible le port d’une cage de chasteté évite tout doute de la part de la Reine et toute tentation de la part du chevalier. Elle le rend plus vulnérable et son abstinence plus humiliante puisqu’il n’aura pas d’autre choix que d’attendre le bon vouloir – et la clef – de sa Reine. Il ne pourra plus ne serait-ce que se caresser sans atteindre la jouissance ou simplement toucher son zizi.
S’il est incontestable que dans une relation D/s l’orgasme de la Reine est infiniment plus précieux que celui du chevalier, il n’en est pas moins évident que ce dernier aime pouvoir se purger. Un homme vivant seul et n’ayant pas de relation avec une partenaire se masturbe plusieurs fois par semaine, voire par jour, même s’il a du mal à le reconnaître. Interdire toute forme de jouissance comme prôné par certaines Dominantes extrêmes, notamment Gynarchistes, est à mon avis contre-productif. Ce qui compte c’est avant tout que le pouvoir qu’a la Reine de décider où, quand, comment, et éventuellement devant qui, le chevalier aura le droit de se libérer.
Si l’orgasme de l’homme peut-être considéré comme nécessaire à son équilibre, il ne doit pas être vu comme un dû mais comme une récompense. A ce titre, sa rareté – même relative – et le fait qu’il soit accordé par la Femme comme un don, le rendra plus précieux. Son attente sera source de frustration et la libération, attendue, espérée, plus violente et délicieuse. La frustration de l’attente sera un moyen d’apprendre à transcender sa sexualité, à mieux apprécier une caresse, un baiser. Elle favorise aussi l’envie de donner du plaisir à l’autre sans espoir de retour autre que la satisfaction de Celle qui l’a reçue. En cela le chevalier sera aussi fidèle à sa mission.
Infidélité féminine
En parcourant un blog D/s de langue anglaise, j’y ai appris que le terme « cuckolding » que l’on pourrait traduire par cocufiage ne s’applique qu’aux hommes. Qu’un homme soit fidèle peut être considérer comme naturel, qu’une Femme ne le soit pas, surtout lorsqu’Elle est Dominante, est de plus en plus admis.
Une Femme Dominante aime un homme soumis pour son obédience mais rarement pour sa virilité, qu’Elle peut avoir envie de retrouver chez d’autres. Par ailleurs beaucoup refusent toute forme de pénétration sexuelle de la part de leur conjoint soumis. Accepter de faire l’amour, c’est accepter de se donner, d’être « prise », d’offrir du plaisir au mâle sans pouvoir le contrôler, c’est lui offrir, au moins le temps de l’acte, quelques instants de supériorité. Se refuser, c’est garder de la distance, se rendre inaccessible, faire de sa vulve un objet sacré qui devra être vénérer par la langue du soumis mais dont le vagin restera interdit, objet de tous les désirs mais d’aucun plaisir. Se refuser c’est aussi contrôler la sexualité et les orgasmes de son partenaire.
Bien sûr, si la pénétration n’est souvent pas un acte fondamental dans le plaisir Féminin, son absence peut parfois engendrer de la frustration. La Femme peut dans ces cas là utiliser ou demander au soumis de la faire jouir avec un vibromasseur ou des gadgets sexuels. Elle peut aussi lui faire porter un étui pénien qui privera le sexe du soumis de toutes sensations et se faire prendre ainsi en étant sure d’être la seule à avoir du plaisir. Elle aura malgré tout parfois envie d’une vraie relation sexuelle qui passera par des relations avec des amants, ce qui au dire de certains psychologue est tout à fait normal.
Le soumis ainsi cocu sera d’autant plus frustré de ne pouvoir faire l’amour à sa Maîtresse qu’il saura qu’Elle accepte de le faire avec d’autres et il sera d’autant plus humilié qu’il sera touché au plus profond de son ego et de sa virilité. D’un autre côté il ne pourra être jaloux puisque sa Maîtresse ne fera que profiter de plaisirs qu’il ne peut lui donner. Puisque, pour un soumis le plaisir sexuel de la Maîtresse compte avant le sien, il ne pourra se plaindre de la voir heureuse même si c’est dans les bras d’un autre. Il devra au contraire s’en féliciter et la remercier d’accepter de prendre des amants pour préserver la qualité de leur relation.
Être cocu c’est pour le soumis un merveilleux moyen de prouver la profondeur de son amour, la pureté de ses sentiments, de reconnaître que la Femme qu’il aime n’est pas sa propriété, qu’Elle est objet de désir mais pas de plaisir mais surtout qu’Elle est libre de vivre comme Elle l’entend et pas comme lui le désirerait.
D’un autre côté ce genre de pratique est souvent la dernière étape avant une rupture définitive dans une relation traditionnelle. La Maîtresse devra donc aussi rassurer le soumis sur ses réelles intentions le concernant et l’amour qu’Elle lui porte (Bien sur s’il n’y a pas d’amour le fait qu’Elle ait ou non des amants ne changera pas la qualité de leur relation).
Une fois que le soumis cocu aura accepté son nouveau statut parce que la Maîtresse y gagnera du plaisir et que lui ne perdra rien sauf ce qui lui restait de son honneur de mâle la relation prendra un tour nouveau bien évidemment.
Faire de son mari ou partenaire un cocu respectueux de sa liberté sexuelle et cela sans contre-partie donne à la Femme encore plus de Supériorité, dans son couple mais aussi vis à vis de son entourage ou de ses amies. Inversement le cocu sera non seulement bafoué dans le peu de virilité qu’il lui restait mais aussi humilié aux yeux de tous ceux mis au courant, avec un certain plaisir en général, par sa Maîtresse.
Au delà de cet aspect la Maîtresse pourra faire participer le soumis de manière indirecte ou directe à son propre cocufiage. Elle pourra par exemple lui demander de l’aider à se prépare avant un rendez-vous, lui raconter, lui dire le plaisir qu’Elle aura pris ou celui qu’Elle aura donné à son amant, se faire lécher ou nettoyer à son retour si le rapport était non protégé (Dans le cas contraire Elle pourra ramener le préservatif usagé et le vider de son sperme sur une partie de son corps, ses bottes, sa culotte, que le soumis pourra laver de sa langue).
Pire, Elle pourra présenter son ou ses amants à son soumis Bref, avoir des amants, pour une Femme Dominante est non seulement une source de plaisir physique mais aussi un moyen d’augmenter son emprise cérébral sur son soumis.
Humilité
Traduction d’un texte trouvé sur un blog tenu par Une adepte de la Supériorié Féminine.
Pour beaucoup de femmes, humilier son mari ou partenaire peut être une activité très érotique et déclencher des émotions très fortes. Casser les moules conventionnels d’une société dominée par les hommes et le traiter d’une manière qui va à l’encontre de tout ce qui a pu nous être enseignée lorsque nous étions petites filles est à la fois très excitant et très valorisant. Pour les hommes qui acceptent cette forme de domination, ce peut être non seulement une expérience sexuelle forte en soi, pouvant le conduire jusqu’à l’éjaculation, mais cela peut également contribuer au développement d’un grand sens de la dévotion à l’égard de son épouse. Nous savons toutes que le cœur de l’homme passe par son estomac. De la même manière son esprit passe par son pénis. Le traiter d’une manière qui le maintiendra sexuellement en éveil vous garantira la fidélité de son esprit. Il vous appartient de vous en assurer. Puisque son sexe est relié à son cerveau, si vous contrôlez le premier, vous contrôlez le second.
L’humilier peut être fait de nombreuses manières. Cela peut passer par ses vêtements, ses corvées, son esprit, son corps, sa sexualité et/ou sa virilité, la féminisation, en le maltraitant verbalement ou en l’insultant, en se moquant de la taille de son engin, de sa vigueur ou en lui suggérant qu’il n’est pas un vrai homme. Quelques-unes unes ou l’ensemble de ses méthodes auront un pouvoir très fort sur les hommes soumis. Cependant toutes ne fonctionneront pas forcement. Pour certains soumis le fait de simplement les gronder sera le plus efficace. Pour d’autres il sera plus productif de leur faire porter des petites culottes en les traitant de lopette. Vous devrez expérimenter différentes manières pour voir ce qui est le plus efficace à vos yeux.
J’estime que pour beaucoup d’hommes que la meilleure approche est le modèle que j’appellerais "construction/destruction" de son amour-propre. Après qu’il ait été soumis ou en formation depuis quelques semaines, vous pouvez appliquer cette méthode. L’idée est de le maintenir humble. N’insultez jamais son intelligence car ça n’aura pas l’effet escompté et ne sera pas productif. Commencez plutôt par lui dire, par exemple, qu’il a du charme qu’il est plutôt bien bâti avec un pénis de taille normal et agréable dans le lit. En lui disant au début des choses positives vous tirez son ego vers le haut. Après quelques semaines vous pourrez commencer à critiquer sa technique au lit, faire des commentaires au sujet de la taille de son pénis, de sa vigueur et de son désir de vous plaire. Il deviendra inquiet et préoccupé. Vous pourrez le rassurer et l’inciter à penser que tout va bien. Quelques jours plus tard, recommencez à vous plaindre de choses à peu près identiques mais avec plus de force. Le processus entier doit se répéter jusqu’à ce qu’il soit constamment anxieux et prêt à tout faire pour vous satisfaire.
Je pense également que dans beaucoup de cas l’humilier devant d’autres femmes est important. Avoir sa virilité, la taille de son pénis, sa sexualité mises en cause devant vos amies sera à la fois dévastateur et excitant pour lui. De la même manière, j’estime que se faire servir devant des amies intimes alors qu’il est nu ou dans une tenue humiliante le poussera vraiment au bout de son désir de se soumettre. Il aura tendance à se plaindre ou à protester tout en ayant une érection. Le signe indiquant que votre tactique d’humiliation est la bonne ne viendra pas de ses yeux ou ne sortira pas de sa bouche mais se situera entre ses jambes. S’il bande, quelles que soient ses protestations vous saurez que vous aurez que vous êtes sur la bonne voie pour le conduire à l’humilité.