Une position commune pour deux Reines qui pratiquent des activités différentes.
Vilain petit garçon
S’il est normal qu’un petit garçon soit excité quand une "maman" joue avec sa quéquette, il doit aussi apprendre – avec son aide – à modérer ses pulsions et à ne jouir qu’avec son autorisation pour éviter une punition due à son manque de respect ou d’obéissance.
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Catwomen
Deux déclinaisons de masques pour deux femmes aussi mystérieuses, sensuelles, attirantes, dominantes, en un mot royales, l’une que l’autre.
Fessée punitive
Si dans une relation dominante / soumis la fessée devrait avant tout être éducative, elle peut devenir punitive lorsque le chevalier n’a pas obéit à un ordre de ce type qui est :
- Simple à réaliser.
- Qui ne menace pas son intégrité physique ou sa santé.
- Qui ne le met pas en danger vis à vis de tiers proches (Famille, amis, milieu professionnel).
2ème temps
La fin du 2ème temps de la valse qu’impose une Reine à son chevalier.
Fan de cuir
Il n’y a pas que les hommes (soumis ou pas et pour des raisons différentes) qui puissent être fétichistes du cuir.
Certaines Femmes aiment aussi en porter – et en font collection – par pur plaisir, parce qu’Elles aiment cette matière, sa sensualité, sa douceur mais également parce qu’Elles connaissent la libido des hommes et l’impact que cela peut avoir sur eux.
Gentleman
Un chevalier doit aussi savoir se comporter en gentleman dans la vie de tous les jours, même si le concept est devenu un peu suranné et qu’il risque de passer pour ce qu’il est (c’est à dire un homme soumis) en public.
Encouragements
Un chevalier amoureux de sa Reine devrait accepter qu’Elle le fasse cocu – si Elle en exprimait l’envie et le besoin – mais devrait aussi, si c’était le cas, l’encourager à prendre un plaisir maximum dans sa relation avec son amant.
Fin de repas
A l’issue d’un repas et pendant que son chevalier prépare le café, rien n’interdit à une Reine de faire plus ample connaissance avec un convive restant (et de collecter la crème du café de son chevalier).
Non !
" Non mon amour ! Tu sais bien que le fait que nous soyons mariés ne te donne aucun droit de cuissage sur moi. Tu as accepté ta chasteté et MA liberté comme conditions à notre union. Ta frustration de ne pouvoir me faire l’amour me rend plus désirable à tes yeux et l’humiliation d’être cocu te rend plus soumis. C’est ce que nous voulions tous les deux et jamais je ne mettrai en danger l’équilibre de notre couple en t’accordant une satisfaction passagère. "
" Maintenant laisse-moi seule. Je t’appellerai quand j’aurai besoin de toi. "
