En couche

Rien à voir avec l’ABDL (Adult babies, diaper lovers – Bébés adultes, amoureux des couches) même si une Reine peut être attirée par ce genre de jeu, ne serait-ce que de manière ponctuelle (à Elle de le dresser en conséquence), faire porter une couche à son chevalier et l’obliger à la mouiller – au pire le temps fera son œuvre – sera pour lui une source de grande humiliation mais aussi une manière de comprendre que sa Reine peut tout contrôler, jusqu’à ses fonctions urinaires.

Là encore c’est un moyen de le conditionner – comme par la fessée –  à se sentir petit garçon (voire tout petit garçon puisqu’il porte une couche humide) totalement dépendant des désirs de l’adulte qu’est son éducatrice.

Pire et ironiquement, dans un second temps, une fois que le chevalier aura uriné dans sa couche, la Reine pourra uriner dans sa bouche, pour bien marquer leur différence de statut (le soumis se pisse dessus et la Maîtresse lui pisse dedans).

NB : Si tout conditionnement réclame une certaine récurrence, le conditionnement par la parole, en rappelant à son chevalier dans quelle situation il s’est trouvé, permet aussi à une Reine, sans la renouveler, de le rendre honteux et donc forcement plus soumis.










Intimité poisseuse

Variation pour un même thème.

Lorsqu’Elles reviennent de chez leur amant de nombreuses Reines souhaitent utiliser la langue de leur chevalier pour nettoyer leur intimité encore poisseuse des turpitudes des heures précédents leur retour.

Qu’Elles aient gardé sous leur robe leurs sous vêtements ou pas, il leur suffit de la retirer pour lui donner pleinement accès aux sucs – ou au sperme – dont il devra les débarrasser.

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