S’il n’est pas rare qu’un chevalier aide sa Reine à se déshabiller, il est beaucoup moins fréquent qu’il le fasse alors que son amant l’attend dans son lit, dans un geste qui, même s’il est imposé par Elle, signifie moins que c’est Elle qui va se donner mais plutôt lui qui l’offre à un homme qui le fera cocu.
Où il est démontré que si une Reine peut parfois s’amuser à traiter son chevalier comme s’il était un chien, c’est parce que ce dernier a parfois naturellement (surtout lorsqu’il est bien dressé) un comportement de chien.
Sourire taquin d’une Reine qui vérifie, avant de partir rejoindre son amant, que la cage du petit oiseau de son chevalier est bien fermée et qu’ainsi le plaisir sexuel qu’Elle recevra sera renforcé par celui plus intellectuel de savoir que ce dernier, ne pouvant se libérer de sa frustration, n’aura de cesse de penser à Elle et ses aventures libertines et ce jusqu’à son retour.
De retour d’une réunion où son directeur n’a pas décollé les yeux de ses bottes, cette Reine à la fois excitée à cette idée mais aussi frustrée de savoir qu’il ne serait pas raisonnable de le faire tomber dans sa nasse, demande à son chevalier d’honorer les dites bottes, avant de remonter lentement le long de sa jambe et de plonger au creux de son intimité pour lui donner un orgasme réparateur.
Plus discrète qu’un trône en sa demeure, mais pouvant en faire office, une bergère, dans laquelle confortablement installée, une Reine peut se faire honorer toutes les parties de son corps par la bouche de son chevalier, notamment celles situées sous son bassin.
Un seul terme pour deux significations suivant qu’on soit Reine ou chevalier :
Pour une Reine (au pluriel) : les gants qu’Elle utilise pour vérifier l’état de propreté de la quéquette de son chevalier.
Pour un chevalier (au singulier) : sa fonction lorsqu’il doit nettoyer de sa langue l’intimité de sa Reine.
Suivant la position qu’Elle donne à son bassin et à ses jambes, un chevalier bien dressé sait exactement si sa Reine souhaite qu’il vénère son anus pour reconnaitre son pouvoir ou son intimité pour honorer sa Féminité.
Destinés à être uniquement utilisés par une Femme, certains objets suffisent, à leur seule vue, à modifier l’attitude d’un homme lorsqu’Elle la trouve inopportune.
En tout lieu et à toute heure une Reine peut rappeler à son chevalier que s’il porte une quéquette, c’est en réalité à Elle qu’elle appartient.
Si une Reine invoque à juste titre la fessée comme nécessaire dans le cadre de l’éducation de son chevalier, il n’en est pas moins vrai qu’il s’agit généralement pour Elle, moins d’une corvée, que d’un réel plaisir (intellectuel et physique) à la lui donner.
