Choix

" Parlons peu mais parlons bien. Tu sais que tu m’as énervée en te comportant comme un petit macho en présence de mes amies ? Tu comprends donc que tu mérites une punition ? Bien…Comme je suis magnanime je te laisse le choix. Ce sera 15 coups de cravache ou 15 min à me lécher le trou du cul en me demandant pardon. Je vais compter jusqu’à trois et à trois je veux ta réponse.. "


Darwinisme

L’évolution des espèces les conduit à s’adapter à leur environnement.

De la même manière, puisque dans l’immense majorité des cas les cages de chasteté sont conçues pour accueillir de petits sexes (il ne saurait y avoir de hasard) pour une grande majorité de Reine il est clair que :

  • Si le sexe de son chevalier est adapté au port d’une cage, c’est qu’il n’est pas conçu pour pouvoir lui offrir un plaisir vaginal et donc destiné à rester chaste.
  • Si le sexe d’un autre homme n’est pas adapté au port d’une cage, c’est qu’il est conçu pour lui donner du plaisir et qu’il pourrait faire un bon amant.









Mummy’s little boy

Dans le monde anglo-saxon, les termes Mummy (Maman) et Daddy (Papa) lorsqu’ils sont associés à l’univers D/s (et pas bébéphile) n’ont pas la connotation incestueuse (et donc taboue) qu’on leur attribue en France.

Pourtant, si Elle est avant tout Maîtresse, une Reine par ses côtés guide et protectrice renvoie aussi une image maternelle (qu’Elle peut avoir envie de développer quand Elle considère parfois, et aussi, son chevalier comme un petit garçon).

Lorsqu’Elle "joue" à l’infirmière, lorsqu’Elle donne son sein à téter, voir quand Elle lui donne la fessée, Elle n’est pas loin de se comporter comme une Maman, ce qui ne veut pas dire qu’Elle perde son statut de Dominante, puisqu’Elle est l’adulte face à un petit garçon qui se doit donc d’être respectueux et soumis à son autorité de Femme (ce qui est le cas de tout petit garçon vis à vis de sa mère tant qu’il n’a pas atteint l’age de l’adolescence).

Si dans une relation traditionnelle il est courant d’appeler, dans des moments de tendresse, sa partenaire "mon ange" ou "mon cœur" alors qu’on sait bien qu’Elle n’est pas réellement un ange ou un cœur, pourquoi ne serait-il pas possible dans les même moments (et si Elle le souhaitait bien sûr) qu’un chevalier appelle sa Reine Maman (le vouvoiement restant la règle), tout en sachant là aussi faire la distinction entre la réalité et l’image qu’Elle renvoie d’Elle à un moment bien précis ?

Pour éviter tout débordement la règle pourrait être (toujours si Elle le souhaitait) qu’il l’appelle ainsi lorsqu’Elle s’occupe de lui (ou qu’Elle parle d’Elle en disant "ta Maman") et qu’il l’appelle Maîtresse lorsque c’est lui qui la sert (ou qu’Elle parle d’Elle en disant "ta Maîtresse"), permettant ainsi de s’affranchir (dans l’intimité) d’une "norme" restrictive tout en en limitant l’usage à des moments bien précis.