" On dit que les hommes cherchent souvent l’image de leur mère chez une Femme et que certaines Femmes voient les hommes comme des petits garçon. C’est mon cas. Même si je reconnais qu’ils ne sont pas vraiment responsable et que leur éducation patriarcal leur a appris à être des rois sans leur en donner la maturité et les qualités. Tu n’es pas le pire et je sais qu’au fond de toi tu as compris que ce sont les Femmes qui devraient être Reine mais la taille de ton pénis évoque aussi pour moi celle d’un petit garçon prépubère donc encore incapable de faire l’amour. Et quoi de mieux pour un petit garçon soucieux de rendre hommage à l’autorité Féminine qu’une Mère de substitution qui reprendra son éducation en main pour lui enseigner les vertus du Matriarcat ? Plutôt que Madame, Ma Reine ou Maitresse, je veux donc que tu m’appelles désormais Maman. Je serai bien sur une Maman un peu particulière puisque je t’appendrai non seulement tout ce qu’un petit garçon devrait connaitre pour, une fois adulte, satisfaire une Dame mais également des choses qui, si elles sont fondamentales, ne font normalement pas partie de ce qu’une Mère enseigne à son fils, dans une relation à la forme incestueuse mais qui ne le sera pas, d’abord parce qu’elle sera exempte de pénétration de ta part et ensuite parce que nous ne sommes pas réellement consanguins. Je mettrai toujours des tenues strictes qui te rappelleront mon Autorité pour t’encourager à m’obéir mais sexys et élégantes pour t’aider, plutôt que de le combattre comme ferait une vraie Maman, à créer le désir œdipien que je veux susciter chez toi. Je le renforcerai en t’aidant à développer une forme de fétichisme de tout ce qui m’appartient pour que tu deviennes totalement dépendant de la vénération que tu me porteras, qui ne sera plus sublimée mais réelle, et qui me rendra unique et irremplaçable à tes yeux. Pour finir, si je n’hésiterai pas à te punir si tu étais un vilain garçon, je prendrai bien plus de plaisir à être obéie et à te récompenser par mon sourire, ma tendresse, mes câlins, mon sein et, parfois, la caresse de ma main sur ton zizi d’enfant. "