Fessée

Même si dans mon esprit les rapports Dominante/soumis n’ont rien à voir avec des rapports sadomasochistes (Où la Maîtresse devient l’esclave d’un soumis qui fait souvent tout pour être puni), il n’en est pas moins vrai qu’ils se placent (en terme d’analyse transactionnelle au moins) sous le signe du rapport adulte/enfant où l’une est détentrice de l’autorité et l’autre doit se soumettre à cette autorité.

Difficile de trouver mieux que la fessée pour symboliser ce rapport de soumission du petit garçon face à l’autorité féminine.

Ainsi en dehors de toute idée punitive, fesser de temps en temps son Chevalier peut-être pour une Reine un bon moyen de lui rappeler qui détient l’autorité et qui doit obéir.

Par ailleurs il peut être bon de lui rappeler aussi que si les fesses de sa Reine doivent être objet de vénération, les siennes n’ont pas la même valeur et peuvent servir d’objet décoratif quand ont les fait rougir.

 

Une réflexion au sujet de « Fessée »

  1. Très juste !!

    Votre évocation me fait penser à une Souveraine (Reine, Impératrice, Tsarine, Comtesse…) qui régenterait toute une cour masculine de pages et de Chevaliers servants. Elle distribuerait fessées traditionnelles aux premiers, coupables à ses yeux de … voyeurisme ! Et aux seconds les faveurs de sa chambre intime ! Et si la-dite Souveraine est également Maman, elle s’exercera certainement sur l’arrière-train de ses progénitures mâles ! Quelle autorité ! Quel conte de fée !

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