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Culottes sales

Si la lingerie Féminine est conçue pour séduire les hommes, vous seriez étonnée Mesdames qui me lisez (surtout celles en recherche de chevalier ou celles qui sont simplement curieuses) de savoir combien un homme à tendance soumise (assumée ou inhibée) peut être attiré par une petite culotte qui a été portée.

Plus elle sera (raisonnablement *) tachée et porteuse des odeurs de l’intimité de sa Reine, quelle qu’elles soient (transpiration, excitation, trace d’urine, voire du sperme s’il est cocu) et plus son chevalier (en général) sera excité à l’idée de glisser son nez contre son fond.

Cela sera d’autant plus vrai s’il est chaste (donc interdit de pénétration) et que la frustration engendrée conduira à le rendre fétichiste des objets portés par sa Maîtresse comme objets transitionnels.

Or qui a t-il de plus proche de cette intimité – dont il ne pourra pas jouir comme tout amoureux souhaiterait le faire – que cet écrin qui la protège ?

Qui parmi les hommes (toutes tendances confondues) n’a pas petit garçon ou jeune adolescent, connu ses première émotions sexuelles en allant plonger le nez dans le panier de linge sale qui se trouvait chez un copain ou une copine ? Qui parmi ceux-ci ne s’est pas branlé lorsqu’il était encore puceau en sentant une petite culotte et en rêvant qu’il faisait l’amour à sa propriétaire ? Peu oserons vous l’avouer dans les yeux Mesdames mais ils sont très nombreux.

Si cette tendance (perversion ?) disparait chez la majorité des hommes dès leur dépucelage, le sexe de la Femme devenant plus un objet de plaisir qu’un objet de désir (en tout cas inassouvi), elle reste souvent bien présente chez un homme soumis.

Donc, plutôt que s’en offusquer, l’encourager dans cette voie permet à une Reine de le replonger dans ses émotions d’enfance et de renforcer le rapport adulte/enfant qu’il y a dans une relation Maîtresse/soumis.

Enfin, savoir que son chevalier loin d’être incommodé par ce qu’Elle considère être des petits tracas de sa Féminité, est au contraire fasciné par ces derniers, lui permettra de se sentir aimée de manière inconditionnelle comme toute Déesse devrait l’être.

*Portée 24 h (et pas une semaine, là aussi arrêtons de fantasmer et soyons raisonnable)

Ecrin pour quéquette

Puisque qu’il n’y a pas d’alternative entre les deux sexes, imposer le port de petites culottes de Femme à son chevalier a moins pour but de le rendre plus féminin (ce qu’il ne pourrait pas être d’ailleurs dans la plupart des cas) que de le rendre moins masculin (comme lorsqu’il est nu).

En effet, quel que soit son degré de soumission, un homme a été éduqué dans un monde ou le masculin l’emporte bien souvent sur le féminin.

Lui faire perdre ses repères masculins le conduit donc plus facilement à accepter plus facilement la supériorité féminine.

Cette perte de repère sera d’autant plus prégnante, lorsque son zizi emballé dans un string de Femme (donc non prévu pour recevoir cet appendice) sera incapable d’en décoller l’élastique à la taille, même en érection.

Masturbation VS branlette

L’auto stimulation sexuelle n’a ni la même signification ni la même valeur chez une Reine et chez son chevalier, d’où l’importance de la différencier aussi par les mots.

Une Reine se masturbe.

La masturbation est chez une Reine un moyen comme un autre (et ce d’autant plus qu’Elle a des amants) de préparer ou d’atteindre un orgasme.

Elle peut :

  • Stimuler son clitoris, son vagin ou les deux à la fois.
  • Utiliser ses doigts ou des accessoires.
  • Le faire en présence de son chevalier ou lui demander de la laisser seule.
  • Le faire à tout moment qu’Elle aura décidé.

La masturbation est donc pour une Femme un acte sensuel et sexuel comme un autre, qui s’inscrit naturellement dans la palette des outils susceptibles de lui apporter le plaisir.

Un chevalier se branle

Pour peu, ce qui est souvent le cas, qu’il soit rendu chaste par sa Reine, la stimulation manuelle est le seul moyen pour un chevalier d’atteindre le plaisir.

A la différence d’une Reine :

  • Cette pratique est chez l’homme beaucoup plus mécanique, voire ridicule pour qui le regarde faire.
  • Il n’est généralement pas (surtout s’il porte une cage de chasteté) maître du moment où il pourra la pratiquer.
  • Il est souvent obligé de le faire sous le contrôle visuel de sa Reine (et parfois d’autres personnes).

Bref cette pratique – normalement solitaire chez un homme – qui pourrait (à la limite) être considérée comme normale dans un couple ordinaire mais qui est souvent l’unique moyen pour un chevalier d’atteindre la jouissance, devient humiliante puisqu’encadrée et contrôlée.
 

Sièges particuliers

Il existe des sièges très particuliers, percés en leur centre, sous lesquels des chevaliers peuvent s’allonger et leur Reine s’installer pour offrir leur intimité (ou leur anus) à honorer.

Ces sièges ont l’avantage de permettre à la Maîtresse d’être correctement installée – lorsqu’Elle s’assied – et à son soumis aussi (ce qui n’est pas à négliger, puisque plus il l’est lui aussi, plus il pourra se concentrer sur sa tâche)

Il est clair que certains sont peu discrets – et à mettre dans une pièce dédiée à cet effet – mais il en existe d’autres, faciles à ranger et tout aussi efficaces (voir l’exemple)

Enfin, dans un autre genre et encore plus discret, une idée soufflée par une Dominante imaginative, la bergère sous laquelle le soumis s’assied et sur laquelle la Maîtresse s’installe, son intimité se situant à la hauteur de la bouche de ce dernier.

Amazones

Certaines Reines sont par nature tellement dominantes qu’Elles ne supporteraient pas de ne pas prendre également l’ascendant (mental et physique) sur leurs amants.

Elles font partie de ses Femmes qui aiment être "au-dessus" lorsqu’Elles font l’amour afin de doser au mieux l’intensité de leur plaisir, en se souciant peu de celui de leurs partenaires.