" Même en le libérant 1 h par semaine pour ta branlette, je pense qu’après un an passé dans une cage de chasteté dont je réduirai progressivement la taille, ton zizi ne devrait pas être plus grand que ça. Et là crois-moi je prendrai beaucoup de plaisir à le montrer à mes copines. "
" Pour une fois c’est moi qui te laisse le choix entre deux propositions. Soit tu acceptes que je me partage entre toi, même si tu ne le seras jamais et que je contrôlerai ta sexualité, et mes amants, soit tu refuses et je ne verrai plus que mes amants en attendant de trouver un homme qui saura faire passer mes intérêts avant son ego. Tu vois c’est très basique et ça ne nécessite pas plus de temps de réflexion que celui que je consacre à cette cigarette de la part d’un homme qui prétend m’aimer. "
Etre Reine c’est aussi s’investir dans la pratique régulière d’activités permettant à son chevalier de développer son humilité.
" Tu sais bien que mon mariage ne changera rien à notre relation ma Chérie. Mieux, son engagement est la preuve qu’il a accepté toutes mes conditions dont celle d’être libre de te choisir pour être la première à le faire officiellement cocu. "
" Elle a encore perdu un peu de taille depuis que tu portes ta nouvelle cage de chasteté. Même si on peut espérer qu’elle réduise encore un peu je vais quand même la prendre en photo avec mon portable afin de pouvoir la montrer à toutes Celles qui ne comprendraient pas que je puisse te faire cocu. "
" J’avoue que ça m’excite de voir combien tu es nerveux quand je flirte avec un homme dans une soirée et que tu sais que je pourrais la finir dans son lit. "
" La chaîne et sa clé autour de mon cou. Il ne reste plus qu’à passer la cage autour de ta bite et nous serons chacun parfaitement dans notre rôle. "
" C’est très agréable de se sentir adulée par un homme comme si on était une Reine. Tu veux essayer ? "
Pour qu’il regrette moins de n’y avoir pas participé, offrir à son chevalier les restes de la soirée passée avec un amant.
" C’est comme en géopolitique. Même s’il ne les utilise pas, c’est celui qui détient les armes qui définit les règles et le mode de fonctionnement de son environnement. Et plus la menace est prégnante plus ce dernier est prêt à se soumettre pour éviter la frappe. Vois-tu où je veux en venir ? "
