" Désolée mais j’en ai marre que tu me réveilles la nuit en allant aux toilettes sous prétexte que tu as un besoin pressant. Deux solutions : soit tu pourras te retenir et tu me prouveras que tu redoutes plus la honte de la mouiller que ça ne t’ennuyais de me réveiller, ce que je pourrais prendre comme un manque certain de respect de ta part, soit tu ne pourras pas et tu passeras encore plus pour un petit garçon à mes yeux. "
" A défaut de t’y habituer tu devras te faire une raison car c’est justement parce que je sais que c’est très humiliant pour toi d’avoir un aussi petit zizi qu’il ne se passera pas un jour sans que je te le rappelle. Et crois-moi, non seulement je vais facilement m’y habituer mais en plus j’y prendrai beaucoup de plaisir. "
" Tu aimerais que je te retire ta cage de chasteté pour que tu puisses te branler en me regardant ? Un jour peut-être mais pas maintenant. Je veux d’abord que tu apprennes à gérer ta frustration et à te concentrer sur mes plaisirs jusqu’à ce qu’il devienne évident pour toi que seuls eux comptent, qu’ils passent par ta langue, mes amants et même ce gode, comme un dû exigible par toute Femme alors que les tiens ne sauraient être au mieux qu’une récompense que je peux parfois t’octroyer en échange de ton obédience. "
" Jamais tu ne me feras l’amour, tu porteras une cage de chasteté, je te ferai cocu et pourtant tu n’as jamais autant aimé une Femme que tu m’aimeras. "
L’air serein de celle qui n’a pas à quémander mais juste ordonner qu’un homme lui donne du plaisir.
Les yeux à peine entr’ouverts pour vérifier que son chevalier ne rate rien du spectacle qu’Elle et son amant lui offrent.
" Bien sûr que de porter une cage de chasteté et de ne pas pouvoir me baiser toi être très frustrant pour toi. D’un autre côté ça te donne plus envie de me lécher et reconnais qu’en la matière je ne te prive pas. "
" Tu crois que je pourrai te rendre heureux même si tu sais que ta petite chose ne sentira jamais la douceur de mon vagin ? "
" J’espère que c’est parce que tu me considères comme la plus jolie fleur de ce jardin que tu aimes tant butiner mon pistil. "
" Comme ça tu ressens mieux ma Supériorité et moi ton infériorité. Mieux, en apprenant à obéir à certains de mes ordres, tu découvriras que ta bassesse n’aura d’égale que ma Grandeur. "
