Si une Reine invoque à juste titre la fessée comme nécessaire dans le cadre de l’éducation de son chevalier, il n’en est pas moins vrai qu’il s’agit généralement pour Elle, moins d’une corvée, que d’un réel plaisir (intellectuel et physique) à la lui donner.
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La tentation du Bi
Il n’est pas rare (même s’il ne faut pas généraliser) qu’au fil du temps qui passe, une Femme devienne de plus en plus attirée par l’idée d’une expérience bi(sexuelle).
Dans un couple traditionnel, les règles de la fidélité font que cette attirance reste à l’état de fantasme, souvent piquant mais aussi générateur de la frustration de ne pouvoir essayer de découvrir d’autres sensations.
Inversement lorsqu’une Femme est une Reine qui estime que le cocufiage de son chevalier est normal, il ne saurait y avoir de frein (ni d’obligation non plus) pour passer à l’acte si l’occasion se présentait.
Dans ce dernier cas, que l’expérience soit pour Elle enrichissante, et qu’Elle souhaite la renouveler, ou décevante, Elle aura pu aller au bout de ses envies, sans être ni freinée ni jugée par son partenaire / chevalier, pour qui la liberté sexuelle de sa Reine est une évidence.
Ainé
Grandeur et humilité
Il y a suffisamment de moyens pour une Reine d’humilier son chevalier pour qu’inversement Elle sache le mettre en confiance et lui apprenne qu’il n’y a rien de déshonorant – voire qu’au contraire il y a une une forme de grandeur – pour lui à se débarrasser de ses inhibitions, à libérer ses émotions et à se livrer sans retenue lorsqu’il lui s’agit de reconnaitre qu’Elle lui est supérieure.
Trucs de Fille
Lorsqu’une Reine souhaite (entre autres) éduquer son chevalier à redevenir petit garçon, à un age où sa sexualité n’était pas encore clairement affirmée, lui faire porter parfois ou faire faire des "trucs de fille" le conduit invariablement à se sentir moins mâle et à avoir moins d’ambition concernant sa virilité.
Enculé
Qu’il apprécie physiquement ou pas ce type d’intrusion, il est généralement psychologiquement difficile pour un chevalier d’accepter de se faire enculer, fut-ce par le doigt de sa Reine, au point de chercher à garder les yeux fermés. (Ce qui inversement fait les délices de cette dernière qui ne manquera pas de lui demander de les ouvrir pour accroitre sa gêne).
Règle des gods
Parmi les nombreuses règles qui régissent une relation Reine / chevalier, celle qui pourrait consister à imposer au chevalier la gestion des gods de sa Reine.
- Les sortir lorsqu’Elle en aura besoin
- Préparer celui ou ceux qu’Elle aura choisi(s) avec du gel ou en le(s) suçant, suivant là aussi son choix.
- Les nettoyer après usage avec la langue ou/et du savon et de l’eau.
- Les ranger en lieu sûr.
En option : suivant ses souhaits, devoir opérer à la place de cette dernière et la remercier de l’avoir fait cocu avec un god.
Excitation partagée
Le fétichisme des bottes et chaussures créé chez une Femme un plaisir avant tout cérébral.
Néanmoins, amener son chevalier à l’être des siennes, par le conditionnement et la chasteté, et voir qu’il devient naturellement excité lorsqu’il doit les honorer et les embrasser, qu’elles soient sur ses pieds ou dans sa penderie, peut conduire une Reine à mouiller son intimité, bien sûr pas parce qu’Elle l’envie mais parce qu’Elle peut mesurer l’étendue d’un pouvoir qui déborde de sa personne et qui va jusqu’à rendre un homme sexuellement amoureux des objets qu’Elle aime porter.
Multi-facettes
Taquine et câline, humiliatrice et protectrice, libertine et aimante, Maîtresse et maternelle, toutes les femmes recèlent de multiples facettes.
Toutes les exploiter, en se libérant de leurs inhibitions et en trouvant le partenaire qui saura les aider à les mettre en exergue, les conduisent à devenir Reines.
Tétée
Donner son sein à téter à son chevalier est pour une Reine l’occasion de ressentir un plaisir physique mais aussi de le replonger inconsciemment à une époque où sa vie (survie) dépendait uniquement d’une Femme (Mère ou Nourrice).
Répéter cette acte de manière récurrente – en employant les mots justes – permet ainsi à une Reine de le ramener non pas à l’état de bébé (ce qui n’est pas le but) mais dans un état de bien-être psychologiquement favorable à son acceptation de redevenir complétement dépendant d’une Femme en qui il aura toute confiance, pour non seulement le guider mais aussi le protéger.