Que ce soit lors de sa phase de dressage et de conditionnement ou plus tard lors de séances destinées à contrôler et renforcer sa soumission, une Reine peut souhaiter, afin de le marquer (physiquement et psychologiquement) de son empreinte, uriner dans la bouche de son chevalier.
Pour cela deux possibilités : soit directement de la productrice au consommateur en collant son intimité contre la bouche de ce dernier, soit en utilisant un dispositif adapté, en général un bâillon muni d’un orifice dans lequel on bloque un tuyau relié à son autre extrémité à un entonnoir.
Un tel dispositif à pour conséquences (avantages ?) :
- De se prémunir contre toute forme d’échappatoire une fois qu’il est installé
- D’éviter toute perte du précieux liquide qu’Elle lui offre.
- Corollairement de ne pas risquer de provoquer de salissures sur le sol.
- De créer de la distance pour qu’il n’ait aucun doute quand au rôle de simple objet qui lui est assigné.
Dans ce cas, quel que soit l’amour que porte la Reine à son chevalier, il ne saurait être question de sentiment amoureux, d’emballement lié à l’excitation du moment, de complicité mais d’un acte réfléchi, programmé, organisé, n’ayant pour seul but que de casser son ego en l’utilisant comme toilettes – ni plus (mais surtout) ni moins – et de l’humilier par tout moyen qui lui semble approprié du moment qu’Elle ne porte pas atteinte à sa santé* ou à son intégrité.
* L’urine "fraiche" est stérile (mais produit de l’ammoniaque en se décomposant). A ce titre il n’est pas dangereux de la boire au moment ou elle sort du méat urinaire (avec modération toutefois) ou de la lécher sur l’intimité de sa Reine (sans modération vu les quantités absorbées)
NB : Puisqu’il est difficile avec un tel dispositif de contrôler le débit du flux d’urine, ni d’y échapper, la Reine devra veiller à ce que son chevalier n’avale pas de travers au risque de s’étouffer (et prévoir de pouvoir l’ôter rapidement si c’était le cas).