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Grandeur et humilité

Il y a suffisamment de moyens pour une Reine d’humilier son chevalier pour qu’inversement Elle sache le mettre en confiance et lui apprenne qu’il n’y a rien de déshonorant – voire qu’au contraire il y a une une forme de grandeur – pour lui à se débarrasser de ses inhibitions, à libérer ses émotions et à se livrer sans retenue lorsqu’il lui s’agit de reconnaitre qu’Elle lui est supérieure.

Trucs de Fille

Lorsqu’une Reine souhaite (entre autres) éduquer son chevalier à redevenir petit garçon, à un age où sa sexualité n’était pas encore clairement affirmée, lui faire porter parfois ou faire faire des "trucs de fille" le conduit invariablement à se sentir moins mâle et à avoir moins d’ambition concernant sa virilité.

Règle des gods

Parmi les nombreuses règles qui régissent une relation Reine / chevalier, celle qui pourrait consister à imposer au chevalier la gestion des gods de sa Reine.

  • Les sortir lorsqu’Elle en aura besoin
  • Préparer celui ou ceux qu’Elle aura choisi(s) avec du gel ou en le(s) suçant, suivant là aussi son choix.
  • Les nettoyer après usage avec la langue ou/et du savon et de l’eau.
  • Les ranger en lieu sûr.

En option : suivant ses souhaits, devoir opérer à la place de cette dernière et la remercier de l’avoir fait cocu avec un god.

Excitation partagée

Le fétichisme des bottes et chaussures créé chez une Femme un plaisir avant tout cérébral.

Néanmoins, amener son chevalier à l’être des siennes, par le conditionnement et la chasteté, et voir qu’il devient naturellement excité lorsqu’il doit les honorer et les embrasser, qu’elles soient sur ses pieds ou dans sa penderie, peut conduire une Reine à mouiller son intimité, bien sûr pas parce qu’Elle l’envie mais parce qu’Elle peut mesurer l’étendue d’un pouvoir qui déborde de sa personne et qui va jusqu’à rendre un homme sexuellement amoureux des objets qu’Elle aime porter.

Tétée

Donner son sein à téter à son chevalier est pour une Reine l’occasion de ressentir un plaisir physique mais aussi de le replonger inconsciemment à une époque où sa vie (survie) dépendait uniquement d’une Femme (Mère ou Nourrice).

Répéter cette acte de manière récurrente – en employant les mots justes – permet ainsi à une Reine de le ramener non pas à l’état de bébé (ce qui n’est pas le but) mais dans un état de bien-être psychologiquement favorable à son acceptation de redevenir complétement dépendant d’une Femme en qui il aura toute confiance, pour non seulement le guider mais aussi le protéger.

Règles des règles

Puisqu’une Reine est indisponible durant ses règles (notamment auprès de ses amants), le corolaire pour son chevalier – et afin qu’il ne soit pas avantagé – devrait être une abstinence sexuelle totale durant cette période.

Afin qu’il soit solidaire d’Elle et de la gène qu’elles provoquent, on peut imaginer plusieurs variantes. Parmi celles-ci, lui faire porter à lui aussi une serviette hygiénique comme Elle le fait Elle, ou pour les différencier et rendre le désagrément plus palpable, à l’ancienne, avec une ceinture réglable et une culotte en plastique, bien sûr sans objet concernant des fuites mais pour créer une impression de chaleur, voire une certaine transpiration qui justifierait presque à elle seule la nécessité de porter cette serviette.

Récompense pour petit garçon

A la fois maternelle et dominante, proche et distante, le plaisir de faire plaisir à son chevalier mais aussi celui de le conditionner, par la chasteté et des branlettes répétées données sous forme de récompense, à se sentir petit garçon face à Elle, jusque dans une sexualité qui le verra accepter comme finalité ce qu’un adulte considère comme préliminaire.

Baiser de Maîtresse

A la différence du baiser traditionnel sur la bouche où les partenaires mélangent leur salive, ce baiser où seule la Femme offre la sienne à l’homme et où les sentiments générés (d’humiliation pour le chevalier et de pouvoir pour la Reine) tiennent moins du geste en lui-même que de l’idée qu’on s’en fait.