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Nue propriété

Le meilleur moyen pour un homme de reconnaitre la supériorité de la Féminité est est de reconnaitre parallèlement l’infériorité de sa virilité.

Quoi de plus naturel – donc – pour un chevalier lorqu’il offre ses services à une Reine, de lui offrir également la gestion de sa virilité et donc par extension de son sexe.

Il en garde la nue propriété (son appendice restant naturellement accroché à son corps) mais en perd l’usufruit, sa Reine présidant à sa destinée.

Ainsi c’est Elle qui décide :

  • S’il doit être épilé ou non.
  • S’il doit être encagé, quand et en quelles circonstances.
  • Du type de sous vêtement qui devra le protéger.
  • S’il doit être exhibé (dans un premier temps dans l’intimité) et quand.
  • S’il doit rester chaste et être interdit ou non de pénétration.
  • Quand et comment il pourra prendre du plaisir.

Il peut également bien sûr servir de support à un ruban, une clochette, un petit tablier, bref il devient avant tout non plus un objet de plaisir (surtout s’il est chaste et de petite taille) mais un objet ludique destiné à lui rappeler son état de soumis et son infériorité (même physique) devant une Femme.

 

Lavements

Que ce soit à titre éducatif, préventif, curatif ou punitif, il n’est pas rare qu’une Reine ne souhaite pas un jour donner des lavements à son chevalier.

Dans les trois premier cas, ce peut être un moyen de le conduire à se sentir petit garçon que l’on doit (comme au XIXème et au début du XXème siècle) guérir d’une constipation passagère (un lavement suffit) ou aider à nettoyer son colon régulièrement afin de prévenir tout problème de transit (en général il faut le renouveler 2 fois).
La tendresse et les massages de son abdomen pour calmer ses crampes n’empêcheront pas son besoin incoercible d’aller aux toilettes et l’ humiliation de se sentir ainsi vulnérable.

Dans le cadre punitif, la dose déversée est généralement supérieure et la position plus humiliante et moins agréable.