Si un pénis peut ainsi s’insérer dans le creux d’un rouleau de papier hygiénique c’est qu’il fait moins de 9.5 cm (pour une moyenne de 15 cm) et qu’il sera bien incapable de contenter une immense majorité de Femmes.
Même si les impératifs de la vie font que chacun doit gérer son quotidien en plus de sa relation amoureuse, il n’est pas (par définition) interdit à une Reine d’appeler son chevalier quelques minutes avant son retour, afin qu’il se prépare à la recevoir avec tous les égards dus à son rang.
Grâce aux outils de communications modernes, une Reine peut envoyer un mms à son chevalier pour lui signifier de ne pas s’inquiéter et que si Elle ne rentrera pas tout de suite, Elle passe néanmoins une bonne soirée.
Lorsqu’à son réveil un chevalier trouve ceci devant la porte de sa Reine il comprend :
" Mon chéri, tu es trop drôle quand je te demande d’enfiler une tenue de soubrette pour m’accueillir et que tu t’essayes à la révérence. Peut-être que quand tu sauras la faire parfaitement, j’inviterai une amie pour que tu nous serves habillé ainis. Tu aimerais ? …"
Dans le cadre des soirées spéciales, certaines soirées libertines où une Reine, à la recherche d’amants, peut consommer sur place et ce même si son chevalier est présent.
Sans objet pour une Femme mais néanmoins d’apparence ultra Féminine, ce sac à couilles pour soutenir la quéquette d’un chevalier en lui rappelant qu’il n’a rien d’un mâle.
Une règle ordinaire pour la plupart des chevaliers : ne jamais se branler sans l’accord et la présence de leur Reine.
Ce n’est pas parce qu’il ne peut pas faire l’amour à sa Reine qu’un chevalier ne doit pas veiller à ce qu’Elle n’oublie pas de prendre sa pilule et/ou qu’Elle ait suffisamment de préservatifs dans son sac à main ou à la maison.
C’est de sa part un acte noble et plein d’altruisme puisqu’il n’en retire aucun intérêt direct si ce n’est de veiller au bien-être et au plaisir de sa Reine.
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Il existe des soirées très spéciales, en général privées et réservées aux adeptes du BDSM (de tous bords), où une Reine peut exhiber son chevalier nu, sans autres conséquence que l’humiliation (et la fierté ?) pour ce dernier de devoir afficher sa soumission en public.
