Archives pour la catégorie Féminin

Boss

Un regard, l’attitude, un détail vestimentaire (ici des cuissardes) voire quelques paroles bien senties pour que la vendeuse (c’est souvent plus amusant pour une Reine et plus humiliant pour son chevalier que face à un vendeur) n’ait aucun doute sur le fait de qui est le "boss" dans le couple et que, même s’il s’agit de lui acheter des vêtements à lui, c’est Elle qui décide lesquels.

L’acceptation d’humiliations en public (légères – il ne s’agit pas de choquer – mais non équivoques) fait partie de l’éducation d’un chevalier, parce qu’il est finalement souvent plus facile (voire excitant) d’assumer sa soumission en privé (quels que soient les actes demandés) que face à des tiers.

Extases sexuelles

Pourquoi au nom de la morale une Femme devrait-Elle se passer d’une extase sexuelle que ne peut lui apporter son partenaire officiel alors que d’autres hommes peuvent le faire ?

Au contraire, beaucoup de Reines ont compris qu’avec l’accord – voire le soutien implicite – de leur chevalier, la liberté qu’Elles s’accordent de ne pas être frustrée renforce l’amour qu’Elles ont pour ce dernier, puisqu’à l’intérieur de leur couple il n’y a plus de problèmes liées à la sexualité (au moins la leur).

Conditionnement par la parole

Si une Reine peut souhaiter avoir un chevalier à l’apparence très masculine en public, que ce soit pour l’esthétique mais aussi pour son aura (Il est plus valorisant vis à vis de tiers) elle a tout intérêt à casse son ego de mâle à l’intérieur de leur relation.

La parole (les mots et le ton employé) est un formidable outil de conditionnement pour le faire parce qu’elle est précise et peut être employée à tout moment et en tout lieu.

Ainsi une Reine pendant la phase d’éducation aura tout intérêt à utiliser la parole pour conduire son chevalier à la soumission qu’Elle attend de lui.

Les phrases et le ton pourront être doux (D) ou Cassant (C) suivant son humeur et l’avancée du dressage de ce dernier.

Ainsi par exemple :

Sur la taille de son zizi

  • D : Finalement si ton zizi n’était pas si petit je pense que je prendrais moins de plaisir à te le tripoter.
  • C : Quand on a une petite bite il est clair qu’on ne peut pas jouer les machos

Sur ses branlettes

  • D : Vas-y mon chéri, branle-toi bien devant moi. J’aime te voir t’exhiber, ainsi j’aime te sentir honteux de le faire mais tu sais que tu n’as pas le choix et nous savons tous les deux que plus tu es humilié plus tu es excité.
  • C : Il n’y a que les bébés qui se tripotent en public. Tu n’as aucune fierté, tu préfères te branler devant moi que t’abstenir. Tu comprends maintenant pourquoi je te suis supérieure ? Parce que je suis une Reine et que tu es pathétique.

Sur son fétichisme

  • D : J’adore quand tu respires mes fonds de culottes ou l’intérieur de mes chaussures. C’est important pour moi de savoir que tu acceptes mes odeurs de Femme et qu’elles te rassurent.
  • C : Petit pervers. Tu connais beaucoup de vrai mecs qui s’exciteraient sur des odeurs de chattes ou de transpiration ?

Lorsqu’Elle lui fait nettoyer son intimité

  • D : Montre moi que tu m’aimes de manière inconditionnelle et que, si tu sais que l’intimité d’une Femme ne saurait toujours sentir la rose, un galant homme se doit de l’y aider même – et surtout – en utilisant sa langue.
  • C : Puisque tu es comme un petit chien qui est excité par les odeurs de sexe et de pipi des femelles, va jusqu’au bout des choses et nettoie-moi la chatte avec ta langue de salope.

Lorsqu’Elle urine sur lui ou dans sa bouche (pour celles qui aiment)

  • D : J’adore te marquer ainsi de mes odeurs et me sentir telle une louve dominante à tes yeux.
  • C : Tu connais beaucoup de mecs qui seraient excités à l’idée de servir d’urinoir à une Femme ?

En lui faisant porter une petite culotte ou une nuisette (même provisoirement)

  • D : C’est vrai que la dentelle te va bien. Tu es vraiment trop "mignonne" et "excitante" comme ça.
  • C : Quand on a rien de viril on peut porter des trucs de filles non ? Même habillée en mec une Femme porte de la lingerie. Pourquoi pas toi ?

S’il est chaste

  • D : Tu sais bien que ta chasteté te pousse à me désirer davantage et donc à m’aimer plus. L’amour que tu me portes n’est-il pas essentiel pour toi et pour notre couple ? Et puis ta langue est merveilleuse et me suffit amplement.
  • C : Tu sais bien que ton zizi est trop petit pour me donner du plaisir et il est hors de question que je me donne à quelqu’un qui ne m’en donnerait pas. Après tout si tu veux prendre ton pied la branlette est bien suffisante.

S’il porte une cage de chasteté (même provisoirement)

  • D : On dirait un bijou qui met en valeur ton zizi. Un gentil garçon ne saurait jouir en dehors de la présence de sa Maîtresse.
  • C : Quand on a une quéquette épilée de petit garçon on réagit souvent comme un petit garçon et je veux être sure que tu ne te tripoteras pas sans mon accord..

S’il est cocu

  • D : Tu sais bien que j’ai des besoins que tu ne pourras jamais satisfaire et, quand bien même, tu sais que j’ai besoin de me sentir séduisante et je sais que tu ne voudrais pas me frustrer de mon pouvoir de séduction.
  • C : Désolée mais je n’y peux rien mais quand on a une petite bite on est condamné à être cocu.

Bien sûr la liste est non exhaustive et chacune saura employer les mots qui lui semblent les plus appropriés suivant les situations.

L’alternance de phrases douces ou cassantes permet à la Reine de mettre en place un processus de construction/destruction destiné à son chevalier.

La douceur pour le construire et l’aider à accepter sa soumission, la dureté pour détruire son ego de mâle. En d’autres termes les réflexions douces sont là pour rassurer le chevalier quant à l’amour que lui porte sa Reine et les réflexions cassantes pour lui faire perdre confiance quant à sa (prétendue donc…) virilité.

Ce dernier point l’aidera à reconnaitre la supériorité de sa Reine à travers sa féminité puisqu’il n’aura rien à lui opposer en retour.

Quelques principes à ne pas ignorer :

  1. C’est la Reine qui mène le bal et c’est à Elle de trouver les mots qui lui sembleront le plus justes. En d’autres termes, il faut qu’Elle soit convaincue de ce qu’Elle dit au risque de ne pas paraître naturelle et de rendre l’exercice contre-productif. Qui va piano va sano et dans le cas contraire il vaut mieux qu’Elle attende des jours meilleurs pour mettre en place la procédure.
  2. Partant du principe qu’il est plus facile de détruire ce qu’on a construit que le contraire, il vaut mieux dans un premier temps utiliser des phrases rassurantes puis avec le temps les alterner avec des phrases plus cassantes.
  3. Suivant le premier principe une Reine ne doit pas se sentir obligée de s’attaquer à tous les thèmes en même temps ni d’aller à la même vitesse pour passer du rassurant au cassant. Là aussi c’est à Elle de voir en fonction de ses envies mais aussi en fonction des réactions de son chevalier.
  4. Aussi résistant soit-il aux humiliations concernant sa virilité, un soumis aura toujours besoin d’être rassuré concernant son humanité (son statut d’homme en tant qu’humain) et quand bien même le but est de casser son ego de mâle sa Maîtresse aura tout intérêt à mettre en valeur les qualités qu’Elle lui reconnait par ailleurs (intelligence, humour, etc…)

 

Association de plaisirs

Uriner est au pire un soulagement pour une Femme mais peut aussi se rapprocher d’un véritable plaisir. Associer ce plaisir à celui d’avoir une langue qui lèche son intimité représente pour certaines Reines un must pour les sensations qu’il représente.