Quand une Reine masturbe son amant ça commence comme ça :
et ça finit comme ça :
Quand Elle branle son chevalier ça finit souvent au mieux comme ça :
"Désolée mon amour mais j’ai tellement mouillé aujourd’hui en pensant que je te ferai cocu ce we que ma petite chatte est toute poisseuse et sent la petite fille qui se néglige. Je suis sure que ta langue de chevalier se fera un plaisir de régler se petit problème pour que je puisse m’endormir en me sentant fraiche comme la rosée."
Une image (au moins autrefois) présente dans les livres d’histoire, rappelant l’esprit chevaleresque d’hommes se mettant au service de leur Reine en promettant :
Il existe aujourd’hui encore des hommes – trop peu nombreux -qui acceptent de se placer sous l’autorité d’une Femme.
Si la cérémonie d’adoubement est moins solennelle (mais en contrepartie elle peut être récurrente), elle n’en reprend pas moins les mêmes ingrédients qu’autrefois en les adaptant à notre culture.
Ainsi :
NB : Si autrefois un chevalier partait guerroyer pour défendre les intérêts de sa Reine, aujourd’hui il la sert en étant proche d’Elle, ce qui lui donne de multiples occasions de reconnaitre sa soumission.
Un regard, l’attitude, un détail vestimentaire (ici des cuissardes) voire quelques paroles bien senties pour que la vendeuse (c’est souvent plus amusant pour une Reine et plus humiliant pour son chevalier que face à un vendeur) n’ait aucun doute sur le fait de qui est le "boss" dans le couple et que, même s’il s’agit de lui acheter des vêtements à lui, c’est Elle qui décide lesquels.
L’acceptation d’humiliations en public (légères – il ne s’agit pas de choquer – mais non équivoques) fait partie de l’éducation d’un chevalier, parce qu’il est finalement souvent plus facile (voire excitant) d’assumer sa soumission en privé (quels que soient les actes demandés) que face à des tiers.
Pourquoi au nom de la morale une Femme devrait-Elle se passer d’une extase sexuelle que ne peut lui apporter son partenaire officiel alors que d’autres hommes peuvent le faire ?
Au contraire, beaucoup de Reines ont compris qu’avec l’accord – voire le soutien implicite – de leur chevalier, la liberté qu’Elles s’accordent de ne pas être frustrée renforce l’amour qu’Elles ont pour ce dernier, puisqu’à l’intérieur de leur couple il n’y a plus de problèmes liées à la sexualité (au moins la leur).
Honorer la culotte de sa Reine, en respirer toutes les fragrances, qu’elles soient discrètes ou plus épicées (suivant le jour ou le moment), parce que telles des empreintes digitales elles sont uniques, est à la fois un devoir, par respect pour sa Féminité mais aussi une récompense pour son chevalier.
Si une Reine peut souhaiter avoir un chevalier à l’apparence très masculine en public, que ce soit pour l’esthétique mais aussi pour son aura (Il est plus valorisant vis à vis de tiers) elle a tout intérêt à casse son ego de mâle à l’intérieur de leur relation.
La parole (les mots et le ton employé) est un formidable outil de conditionnement pour le faire parce qu’elle est précise et peut être employée à tout moment et en tout lieu.
Ainsi une Reine pendant la phase d’éducation aura tout intérêt à utiliser la parole pour conduire son chevalier à la soumission qu’Elle attend de lui.
Les phrases et le ton pourront être doux (D) ou Cassant (C) suivant son humeur et l’avancée du dressage de ce dernier.
Ainsi par exemple :
Bien sûr la liste est non exhaustive et chacune saura employer les mots qui lui semblent les plus appropriés suivant les situations.
L’alternance de phrases douces ou cassantes permet à la Reine de mettre en place un processus de construction/destruction destiné à son chevalier.
La douceur pour le construire et l’aider à accepter sa soumission, la dureté pour détruire son ego de mâle. En d’autres termes les réflexions douces sont là pour rassurer le chevalier quant à l’amour que lui porte sa Reine et les réflexions cassantes pour lui faire perdre confiance quant à sa (prétendue donc…) virilité.
Ce dernier point l’aidera à reconnaitre la supériorité de sa Reine à travers sa féminité puisqu’il n’aura rien à lui opposer en retour.