L’objectif pour son chevalier : embrasser chaque étoile de ses bas.
Un baiser sur les petites, deux sur les moyennes et trois sur les grandes, afin qu’Elle ait le temps d’apprécier l’hommage qui lui est rendu.
Tout ce qui contribue à faire qu’un chevalier se trouve physiquement en position de petit garçon en présence de sa Reine participe – non seulement à ce moment là mais dans leur vie courante – à créer entre eux une relation psychologique de type adulte/enfant.
Se sentir enfant (quel que soit le moment de la journée) face à sa Reine l’aide à (ré)-assimiler les valeurs de respect, d’obéissance et de dévotion qu’Elle attend de lui.
La fessée pratiquée de manière récurrente sur son chevalier, cul nul ou totalement nu (pour la rendre plus humiliante et créer un cérémonial lui laissant le temps de régressé physiquement à l’état de petit garçon) permet à une Reine d’atteindre cet objectif (même s’il y a bien d’autres moyens – à utiliser aussi – de le faire).
NB : Tout est dans la mesure, il ne s’agit pas de "casser" les fesses du chevalier et récurrence ne veut pas dire "à tire larigot". Enfin si l’éducation d’un enfant peut passer par la punition, elle put aussi passer par la persuasion et la tendresse.
Coup de gueule en ce jour de la fête de la Femme !…
Coup de gueule contre certains sites prétendument dédiés à la Suprématie Féminine mais qui présentent en réalité des Femmes objets, s’affichant nues (alors que les hommes sont vêtus), comme si c’était à Elles de s’offrir au préalable pour avoir le droit d’être dominantes.
Coup de gueule contre les pseudos soumis qui regardent ces sites en se branlant et qui attendent d’une Reine qu’Elle satisfasse ses fantasmes de soumission, suivant des règles intangibles qu’il aura lui-même définies et au moment qu’il jugera opportun, sans se soucier de ses envies à Elles.
Même si l’utilisation d’un tel accessoire ne fait pas partie de la vie courante d’un couple D/s, faire porter à son chevalier une cage de chasteté lorsqu’elle est (seule) avec son amant revêt de multiples avantages pour une Reine.
En effet, lorsqu’il sait qu’Elle est avec ce dernier son cocu consentant va ressentir de la frustration, de la jalousie (surtout s’il n’a pas le droit de lui faire l’amour), de l’humiliation mais aussi une forte excitation liée à cette dernière et à l’idée de la savoir dans les bras d’un autre.
Cette excitation risque, dès qu’Elle sera partie, de le pousser à d’abord se toucher puis, ne pouvant plus se contrôler, à se branler jusqu’à jouir (voire à le faire plusieurs fois) conduisant sa libido à se trouver définitivement en berne.
A ce moment là, tous les sentiments qui l’envahissaient disparaissent et – à défaut d’oublier totalement sa Reine – il sera apaisé et pourra s’endormir en paix.
Or le plaisir ressenti par une Reine avec son amant sera d’autant plus fort qu’Elle pourra imaginer, en lui faisant l’amour, la torture psychologique qu’elle impose ainsi à son chevalier. Savoir qu’il pourrait ne pas penser à Elle serait alors source de frustration.
Même si leur relation est fondée sur la confiance, le doute – au moins dans ce cas là – risque de l’emporter sur les certitudes et de gâcher ce plaisir annexe mais puissant de la Reine.
La cage de chasteté est donc un moyen qui prévient toute tentation de "tromperie" de la part du chevalier et rassure la Reine quant au fait que toutes les pensées de ce dernier seront tournées vers Elle jusqu’à son retour.
Avantage annexe : elle permet de renforcer le contraste qui existe entre les droits et devoirs de chacun puisqu’au moment même où la Reine exprime sa liberté sexuelle, le chevalier – lui – ne peut même pas toucher son propre sexe.
Si toutes les Femmes qui portent du cuir ne sont pas dominantes, force est de constater que les Dominantes en portent plus que la moyenne (et ce au moins autant par plaisir que pour affirmer leur autorité).
Ainsi, plus la penderie d’une Femme contient de vêtements de cuir, plus on a de raisons de penser qu’Elle est Reine (et qu’Elle a besoins d’un chevalier pour les entretenir !..).
Un dessin pour illustrer la toilette intime que procure son chevalier à une Reine à une période particulière du mois pour Elle.
Un dessin, car si les règles ne sont ni moins naturelles ni plus dangereuses que tout autre fluide sécrété par sa vulve, le sujet reste néanmoins tabou pour de nombreuses Femmes et leur opinion très tranchée lorsqu’on l’aborde.
Pour certaines dominantes l’idée de les faire nettoyer (partiellement ou totalement) par leur soumis est très excitante parce ces dernières correspondent souvent avec un pic de libido et qu’Elles voient là également un moyen d’affirmer pleinement leur supériorité Féminine. Pour les autres, l’idée même d’y penser est particulièrement horrifiante.
A chacune sa vérité et au soumis de s’adapter.