Chouette, c’est enfin l’été, période propice à la réalisation de tous ses fantasmes.
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Mummy’s little boy
Dans le monde anglo-saxon, les termes Mummy (Maman) et Daddy (Papa) lorsqu’ils sont associés à l’univers D/s (et pas bébéphile) n’ont pas la connotation incestueuse (et donc taboue) qu’on leur attribue en France.
Pourtant, si Elle est avant tout Maîtresse, une Reine par ses côtés guide et protectrice renvoie aussi une image maternelle (qu’Elle peut avoir envie de développer quand Elle considère parfois, et aussi, son chevalier comme un petit garçon).
Lorsqu’Elle "joue" à l’infirmière, lorsqu’Elle donne son sein à téter, voir quand Elle lui donne la fessée, Elle n’est pas loin de se comporter comme une Maman, ce qui ne veut pas dire qu’Elle perde son statut de Dominante, puisqu’Elle est l’adulte face à un petit garçon qui se doit donc d’être respectueux et soumis à son autorité de Femme (ce qui est le cas de tout petit garçon vis à vis de sa mère tant qu’il n’a pas atteint l’age de l’adolescence).
Si dans une relation traditionnelle il est courant d’appeler, dans des moments de tendresse, sa partenaire "mon ange" ou "mon cœur" alors qu’on sait bien qu’Elle n’est pas réellement un ange ou un cœur, pourquoi ne serait-il pas possible dans les même moments (et si Elle le souhaitait bien sûr) qu’un chevalier appelle sa Reine Maman (le vouvoiement restant la règle), tout en sachant là aussi faire la distinction entre la réalité et l’image qu’Elle renvoie d’Elle à un moment bien précis ?
Pour éviter tout débordement la règle pourrait être (toujours si Elle le souhaitait) qu’il l’appelle ainsi lorsqu’Elle s’occupe de lui (ou qu’Elle parle d’Elle en disant "ta Maman") et qu’il l’appelle Maîtresse lorsque c’est lui qui la sert (ou qu’Elle parle d’Elle en disant "ta Maîtresse"), permettant ainsi de s’affranchir (dans l’intimité) d’une "norme" restrictive tout en en limitant l’usage à des moments bien précis.
Ironie
S’il n’est pas rare qu’un chevalier aide sa Reine à se déshabiller, il est beaucoup moins fréquent qu’il le fasse alors que son amant l’attend dans son lit, dans un geste qui, même s’il est imposé par Elle, signifie moins que c’est Elle qui va se donner mais plutôt lui qui l’offre à un homme qui le fera cocu.
Chien
Où il est démontré que si une Reine peut parfois s’amuser à traiter son chevalier comme s’il était un chien, c’est parce que ce dernier a parfois naturellement (surtout lorsqu’il est bien dressé) un comportement de chien.
Jambe complète
De retour d’une réunion où son directeur n’a pas décollé les yeux de ses bottes, cette Reine à la fois excitée à cette idée mais aussi frustrée de savoir qu’il ne serait pas raisonnable de le faire tomber dans sa nasse, demande à son chevalier d’honorer les dites bottes, avant de remonter lentement le long de sa jambe et de plonger au creux de son intimité pour lui donner un orgasme réparateur.
Reine et bergère
Gant(s) de toilette
Un seul terme pour deux significations suivant qu’on soit Reine ou chevalier :
Pour une Reine (au pluriel) : les gants qu’Elle utilise pour vérifier l’état de propreté de la quéquette de son chevalier.
Pour un chevalier (au singulier) : sa fonction lorsqu’il doit nettoyer de sa langue l’intimité de sa Reine.
Aiguillage
Suivant la position qu’Elle donne à son bassin et à ses jambes, un chevalier bien dressé sait exactement si sa Reine souhaite qu’il vénère son anus pour reconnaitre son pouvoir ou son intimité pour honorer sa Féminité.