" Je sais que tu n’aimes pas devoir t’exhiber nu devant moi mais quand on a une quéquette de petit garçon on doit avoir l’humilité d’un petit garçon en présence d’une Dame. Et comme les humiliations conduisent à l’humilité je ne t’humilie pas que par plaisir mais pour ton bien aussi. Je t’autorise donc à me remercier de parfaire ainsi ton éducation en embrassant mes bottes. "
Après un troisième lavement (où l’eau sera claire à la sortie) lui faire porter une couche et lui demander de se retenir le plus longtemps possible avant que, n’en pouvant plus, il se lâche lamentablement en émettant des borborygmes incontrôlables pour le plus grand plaisir de sa Reine.
La tenue, le regard, le maintien d’une Femme qui ne cache en rien le fait qu’Elle soit naturellement Dominante .
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" Tu as été honnête en m’annonçant que tu avais un mini pénis. A mon tour d’être franche, je le qualifierais plutôt de micro pénis. Mais après tout qu’importe puisqu’il n’aura d’autre utilité pour moi que de te contrôler et que tu sais qu’il est voué à finir ses jours dans une cage de chasteté "
" Tu as vu ma chérie. Un vrai petit chien. Une fois qu’il est habitué à tes odeurs il t’adopte et tu peux lui demander ce que tu veux. "
Devoir honorer les escarpins vernis de sa Reine lorsqu’Elle les porte mais aussi parfois lorsqu’Elle ne les porte pas.
" Ca te fait quoi de savoir qu’à la place de ses doigts, il y avait une hier soir une belle bite qui fourrait la chatte de ton épouse adorée alors que ta petite nouille n’en connaitras jamais la douceur ? Moi j’avoue que ça m’excite de savoir que plus je te frustre, plus je t’humilie et plus tu as envie de la lécher. "
A tout instant de la journée, être prêt à déposer sa langue sur l’anus de sa Reine quand Elle attend de son chevalier un signe d’obédience et la reconnaissance physique qu’Elle est sa Supérieure.
" Tu as eu raison ma Chérie de lui faire porter cette tenue. Elle est en parfaite adéquation avec la taille de cette petite chose. "
" Je ne suis pas convaincue qu’elles soient assez pleines pour justifier qu’on les vide aujourd’hui. "
