" Mon pauvre ange. Je n’irais pas jusqu’à dire que cela va gâcher ma soirée mais je suis presque navrée de te laisser ainsi seul, coincé dans ta cage de chasteté, alors que je vais passer la soirée avec un homme. Ce qui me rassure, c’est ta satisfaction de me savoir heureuse même si c n’est pas facile pour toi tous les jours… "
" Merci pour la rose. Maintenant voyons ce que tu peux m’offrir d’autre. Pour commencer déshabille-toi ! "
" Tu parles beaucoup trop… Maintenant j’aimerais que tu me prouves que tu peux aussi te taire et m’écouter avec toute l’attention qui m’est due !.."
" Maintenant que je suis prête, à toi ! Comment te présenter la première fois à mon Amie ? En tenue de soubrette pour mieux nous servir ou juste totalement nu ? Difficile de décider. Finalement je crois que je vais te laisser choisir. Ca sera amusant pour moi de te voir hésiter entre la peste et le choléra mais au moins je te laisse le bénéfice du choix. Qu’est ce qu’on dit à sa Reine ? "
" Bon maintenant montre-moi ce que donne cette cage vue de dos. Tu te retournes, tu écartes tes pieds de 60 cm, tu gardes les jambes tendues et tu touches tes orteils avec les doigts de tes mains. "
" Viens fourrer ton nez à l’intérieur de ma botte comme un gentil toutou qui est rassuré de pouvoir sentir les odeurs corporelles de sa Maîtresse. Comme je l’ai portée sans chaussette, le cuir en est imprégné de celles de mes pieds. Je suis sûr que tu vas adorer petit pervers et que tu seras tout excité quand tu devras lécher la sueur emprisonnée entre mes orteils. "
" Tu ne sens rien ? Moi si… Je sens que mes fesses attendent de toi l’hommage qui leur est dû. Alors ne les déçoit pas et dépêche-toi de venir embrasser le cul de ta Reine. "
" Et bien dis donc. Je savais que tu étais excité quand je porte du cuir mais j’ai l’impression que ta chasteté te rend de plus en plus réactif. Désolée, je sais que tu n’aimes pas mais tu vas devoir lécher tout ça. Je ne voudrais pas que tout le monde sache que j’ai un vilain petit garçon fétichiste qui ne peut s’empêcher de juter sur ma veste. "
" Tu vois, je sens que je suis plus amoureuse de toi depuis que tu portes ta cage. Si je n’ai jamais douté de ta fidélité, savoir que tu ne peux ni te toucher ni te branler sans mon accord et ma présence est très réconfortant pour moi. Comme ça je suis sure que ta libido et tes orgasmes sont entièrement tournés vers moi et que jamais tu ne pourras jouir en pensant à une autre que Moi. "
" Tu vois ma chérie : tu en as la preuve maintenant. Quels que soient le lieu ou le moment, si je lui demande de me lécher la chatte ou le cul, il le fait instantanément comme un petit garçon bien obéissant. "
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