" Tu as vu mon amour comme je sais rester Féminine malgré cette bite que je porte entre mes jambes ? Et pourtant, elle est plus grosse que la tienne… "
Lorsqu’une Reine regarde avec insistance ses chaussures c’est généralement qu’Elle attend de son chevalier – et ce quel que soit le lieu où ils se trouvent – qu’il les rafraichisse en les lustrant.
Lorsque, ainsi parée, une Reine demande à son chevalier de s’installer nu à ses pieds, ce dernier doit comprendre qu’il n’est plus dans le temps de la discussion, de la complicité ou de l’humour mais dans celui de l’obéissance et de la vénération.
Pour renforcer le fétichisme d’un chevalier, son excitation mais aussi sa frustration d’être chaste et cocu, pourquoi ne pas utiliser une ancienne botte ou cuissarde comme panier à linge sale destiné uniquement à la lingerie (celle qu’il a en charge de laver à la main) portée par sa Reine ?
" Mon chéri, quand tu auras fini de cirer mes chaussures, tu enfileras ta cage. Tu viendras ensuite dans ma chambre que je vérifie que tu ne pourras pas la retirer et pour m’aider à finir de me préparer. Dépêche-toi, je ne voudrais pas être en retard à mon rendez-vous. "
Une bonne raison – parmi d’autres – pour ne pas se séparer de son chevalier quand on voit un amant : ne pas être obligée de remettre ses bottes soi-même.
Une Reine sait parfaitement faire comprendre à son chevalier qu’Elle ne saurait se contenter d’être son égale et qu’à ce titre il doit la considérer comme Supérieure.