Ce n’est que lorsqu’il glisse sa langue dans l’intimité de sa Reine pour procéder à sa toilette qu’un chevalier sait si les traces visibles sur son fond de culotte proviennent de substances endogènes ou exogènes.
" Tu vois bien mes doigts ? Bien. Va me chercher mon sac, je vais mettre mes préservatifs dans ma poche et comme je ne doute pas qu’il regarde mes fesses, j’espère qu’il comprendra le message. "
" Je ne veux plus que tu boudes quand je me prépare avant d’aller rejoindre mon amant. Répète après moi : quand on vit avec une jolie Femme et qu’on a une quéquette de petit garçon, il est normal d’être cocu.."
" Déjà que tu es cocu, je ne voudrais pas que tu perdes toute dignité en te laissant te branler en cachette pendant que je serai avec mon amant. On pourrait penser que ça t’excite d’imaginer ce que je fais avec lui et ce serait me tromper que de le faire en mon absence. "
L’élégance naturelle et le détail coquin qui exprime sans mot, sans vulgarité mais aussi sans ambiguïté que cette Reine n’exclut nullement de consommer en dehors de son mariage pour peu qu’Elle rencontre un homme qui sache la séduire.
" J’envisage sérieusement de porter ma chaîne de cheville plus souvent lorsque nous sortirons ensemble. Non pas pour trouver un nouvel amant, je n’ai pas besoin de ça, mais pour que tout le monde sache que tu es cocu. "