Lorsqu’une Femme se réserve à ses amants et se refuse à son mari, les branlettes qu’Elle lui octroie prennent aux yeux de ce dernier une toute autre saveur, puisque de préliminaires elles deviennent le stade ultime du plaisir qu’il peut espérer obtenir d’Elle.
Que son mari soit ou non présent, quand une Reine provoque ainsi un homme en offrant son intimité à sa vue, c’est pour lui faire comprendre que c’est quand il veut et où il veut.
A la vue de ses jambes, il est difficile de ne pas imaginer – au moins pour certains hommes – que cette Femme est non seulement libertine mais également Dominante.
Même s’il lui en coûte et lorsqu’il en a accepté volontairement le principe (ou la règle) faire cocu son chevalier n’est peut être pour une Reine considéré comme une forme de tromperie au caractère immoral. Tout juste pourrait-Elle être considérée comme amorale par des âmes bien pensantes, puisqu’Elle fait fi de la morale qui veut qu’une Femme mariée soit monogame, cette "amoralité" n’étant de toute façon pas condamnable puisqu’elle ne trouble en rien l’ordre public.
Contrairement à ce qu’on pourrait croire, avoir une forte libido n’est pas une pulsion réservée à certains hommes mais elle touche également de nombreuses Femmes (dont sans doute une partie de mes lectrice fidèles)
Malheureusement, Elles sont souvent obligées de rester célibataires pour assumer cette libido et les besoins qui en découlent ou alors de refreiner leurs pulsions lorsqu’Elles vivent en couple de manière traditionnelle (un homme aussi aimant et performant soit-il, ayant du mal à satisfaire leurs besoins sur le long terme).
Trouver un homme par nature fidèle mais qui comprenne ces besoins et leur goût plus ou moins prononcé pour la polygamie constitue la solution idéale leur permettant à la fois de vivre une relation sentimentale sécurisante et une vie sexuelle riche d’expériences multiples.
Pour peu que ce dernier soit aussi de nature soumise (ce qui est généralement le cas) Elle pourra exploiter et développer ce trait de caractère pour devenir Reine en son foyer et profiter ainsi de tout ce qui fait l’attrait de sa Féminité.
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Même s’il est difficile de trouver pire humiliation pour un chevalier cocu que d’offrir ainsi à sa Reine l’objet de ses désirs (et sa Reine à son amant ! ), c’est aussi une vraie preuve d’amour que de comprendre ses besoins et plutôt que de l’en frustrer, de l’aider à les satisfaire.
Celle à la cheville de Madame, signe de sa liberté, et celle de la laisse de Monsieur, signe de son appartenance.
Lorsqu’une main caresse ainsi son entre-jambe de manière inquisitrice, c’est rarement celle de son chevalier mais plus vraisemblablement celle d’un amant, même si la présence du premier rend souvent pour une Reine la caresse encore plus délicieuse.
Le cœur de la cible pour le sexe de son amant, toute sa surface pour les lèvres de son chevalier.
" Oui mon amour. Je sais bien que j’ai un côté vilaine fille quand je me réjouis à l’idée que tu vas venir nettoyer le sperme qu’a déposé un autre dans mon ventre mais après tout je suis Reine et je ne vois pas pourquoi tu pourrais me refuser ce petit plaisir. "
